Extrait d'internet <<<Après avoir lu, j'avais dit que le sujet sur l'Algérie était facile,c'était de la culture générale.
La jeune fille m'avait répondu:
"Tata,j'ai pris le sujet sur la guerre mondiale car je veux assurer ma note.Par expérience,au lycée les élèves qui doublent se rendent compte que les cours sur la guerre d'Algérie sont souvent différents d'un prof à l'autre.
La réponse de la jeune fille m'avait choquée.
Entendre que nos jeunes préféraient ne pas apprendre les cours d'Histoire de l'Algérie pour avoir plus de chance d'avoir une meilleure note m'avait fait mal.
C'est malheureux d'entendre cela.
La lutte contre la pandémie du « coronavirus » conduit le gouvernement à prendre un certain nombre de mesures contraignantes.
Les cérémonies du 19 mars à l’occasion de la Journée nationale du Souvenir et de Recueillement à la Mémoire des victimes civiles et militaires de la guerre d’Algérie et des combats au Maroc et en Tunisie, sont toutes annulées, sauf à Paris.
Les cérémonies prévues initialement au Mémorial du quai Branly et à l’Arc de Triomphe feront l’objet d’un simple dépôt de gerbe de la secrétaire d’Etat aux Armées, accompagné d’un responsable national de la FNACA.
Ainsi seront quand même honorés les 30 000 morts et disparus d’Afrique du Nord.
19 Mars 2012
Cinquantenaire du Cessez le feu en Algérie - 19 Mars 2012 Cinquantenaire du Cessez le Feu en Algérie
Etant toujours en vie, n'en déplaise a certains, par cette page, Algérie 19 mars 1962 - France 19 Mars 2012 c'est avec un plaisir de satisfation, que je vais pouvoir écrire et me libérer, a vous lecteurs de mon site, de cette issue de la Guerre d'Algérie que j'ai vécue, il y a cinquante ans.
Depuis 1963 - je n'ais pas attendu le Décret 2003-925, pour avoir une pensée pour nos morts en Algérie, comme l’ont fait
- le Président de la République Française Jacques Chirac,
- le Premier ministre Jean-Pierre Raffarin
-, la ministre de la défense Michèle Alliot-Marie
- le ministre de l'intérieur de la sécurité intérieure et des libertés locales Nicolas Sarkozy
- la ministre de l'outre-mer,Brigitte Girardin
- le secrétaire d'Etat aux anciens combattants Hamlaoui Mékachéra
, pour signer le 26 septembre 2003 ce décret ridicule, 41ans après le cessez le feu du 19 mars1962, de la fin de la Guerre d’Indépendance de l’Algérie, et - je n'ais jamais manquer la minute de silence devant un monument aux morts, avec beaucoup d'émotion un 19 mars !
J' avais toujours dans ma tête et dans mon coeur des souvenirs indélibiles, traumatisantes.
Mais, je suis désolé de constater, que, a par le Site de notre ami Michel ( dandelotmije.over-blog.com/ qui est d'accord depuis 1963 sur le 19 mars ) tous les autre sites n'admettent pas, que la guerre pour l'indépendance en Algérie était finie a la date du 19 mars 1962. Site http://dandelotmije.over-blog.com/
Car, ensuite, il faut bien le reconnaitre, c'était bien, du véritable maintien de l'ordre
Il est quand même honteux, d'avoirs attendu le 5 décembre 2003 pour honorer les morts de la Guerre d'Algérie, et ce n'est pas a l'honneur de nos responsables politiques
*************************************************************************
Nos responsables politiques n'ont pas voulu " Choqués " ceux qui n'avaient pas respectés le cessez le feu car au total
Dans le Bulletin Officiel des Armées N° 54 de 1976, on apprend que le 1er DBFM a été "unitée combattante" jusqu'au 9 juillet 1962.
Liste N°7615/DEF/EMAT des unités combattantes de la Gendarmerie (Extrait)
Par le Bulletin officiel des Armées on apprend aussi que le 1/27 R A, le 60ème R I, le 12ème B I, "ont combattu" jusqu'au 1 juillet 1962.
Alors qu'avec le 2/ 66ème R.A figure le 17 Avril 1962 comme "fin des combats" ainsi
Le 12 Dragons le 9 Avril 1962 Le 3/24 R.A le 10 Avril 1962 Le 1/18 R.A le 12 mai 1962
le 2/30 R.A le 16 juin 1962 Le 57ème R.I Le 16 Avril 1962 Le 3ème Hussards 16 Avril 1962
Le 16ème R.I.M.A le 29 avril 1962 Le 65ème R.I.M.A Le 7 Mai 1962 Le 21ème Spahis le 10 Avril 1962
Le 1/67è R.A le 11avril 1962 Le 4ème Chasseurs Le 10 Avril 1962 Le 73ème R.I.M.A le 21 Avril 1962
Le 1er R.E.C le 9 Avril 1962 Le 5ème R.C.A Le 9 Avril 1962 Le 2/ 39ème R.I le 29 Avril 1962
Le 1/61ème R.I le 12 Avril 1962 Le 2ème R.I Le 2 Mai 1962 Le 6ème R.I le 14 Avril 1962
Le 1/23ème R.A le 13 Avril 1962 Le 131 ème R.I Le 11 Avril 1962 Le 28 ème dragons le 29 Avril 1962
Voir les unités qui sont déclarés "unités combattantes" au Bulletin officiel des Armées après le 19 mars1962
10ème LISTE D'UNITÉS COMBATTANTES (BULLETTIN OFFICIEL DES ARMEES • N° 54
2ème NUMERO COMPLEMENTAIRE DE 1976) Marine Nationale DEMI-BRIGADE DE FUSILIERS-MARINS
1er bataillon Commando Jaubert
Du 10 avril 1962 au 8 juillet 1962.
Commando Penfentenyo
Du 21 décembre 1961 au 18 mars 1962.
Du 9 avril 1962 au 22 juin 1962.
Commando Trepel
Du 17 avril 1962 au 13 juillet 1962.
Groupements de commandos GROUCO ou GOC
Du 2 août 1961 au 23 juin 1962.
Demi-Brigade de Fusiliers Marins
26ème LISTE D'UNITES COMBATTANTES BULLETIN OFFICIEL DES ARMEES
N°17 DU 24 AVRIL 1978 Armée de l'Air UNITÉS TERRITORIALES
SECTION DE PROTECTION 35/148 (HUSSEIN-DEY).
Du 14 mai 1962 au 12 Juin 1962.
GROUPEMENT DÉ PROTECTION 34/213 (BONE).
Du 4 mai 1962 au 8 juin 1962.
27ème liste LISTE D'UNITÉS COMBATTANTES
(BULLETIN OFFICIEL DES ARMEES N° 17 DU 24 AVRIL 1978)
MARINE NATIONALE Unités à Terre
DETACHEMENT MARINE DU BARRAGE ELECTRIFIE DE L'OUEST.
Du 1er avril 1962 au 30 juin 1962.
Harcèlement, sabotage, protection du barrage électrifié.
COMPAGNIE DE GARDE D'ORAN
COMPAGNIE DE GARDE DE MERS-ELKEBIR.
Du 23 janvier 1959 au 1er août 1962.
Patrouille, mission, garde.
CENTRE S1ROCO. ECOLE DES FUSILIERS MARINS.
Du 7 avril 1961 au 22 juillet 1962.
Garde, patrouilles, maintien de l'ordre, embuscades, opérations.
UNITE DE DETECTION AU SOL DE LAMARINE
Du 28 décembre 1960 au 24 juin 1962.
Maintien de l'ordre, opération, patrouille.
******************************************************************************************************************
Le 6 mai 2017, - Avant l'heure du choix, je mets un message qui a retenu toute mon attention dans vidéo, que je n'ai vu que ce matin.
<<Sommes-nous aujourd’hui condamnés à vivre à jamais dans l’ombre de ce traumatisme pour nos deux pays ? Il est temps de clôturer ce deuil. Il faut pour cela avoir le courage de dire les choses et de ne céder à aucune simplification. »
Colonisation en Algérie : Emmanuel Macron s... par LeNouvelObservateur
La Loi 99- 882 du 18 octobre 1999 - Guerre d’Algérie du 1/ 11/ 1954 au 2/ 07/ 1962 fut décidé par le parlement Français
modifiant, « la loi 74 - 1117, opérations de maintien de l’ordre » ..-,« en Guerre »,
- sans modifier les dates !.
Il est à signaler «Que l’intelligence avec l’ennemi et la collaboration sont, en temps de guerres considérés comme crimes de guerre et donc passible de la peine de mort ! »
ECOUTER AVEC INTERNET: Inter- actualités de 19H15 du 19 mars 1962
Voir avec http://breaux.skyrock.com le 50e anniversaire du cessez-le-feu en Algérie du 19 mars 1962 à midi
****************************************************************************************************************************************
Je n’ai pas participé à la guerre en Algérie. Mais j’ai vécu en observateur, le 19 mars 1962, en Suisse, la proclamation du cessez-le-feu. J’étais journaliste au Journal de Genève, le quotidien de René Payot, dont les chroniques radio ont passionné les Français pendant la guerre.
Depuis deux ans, la France négociait avec le gouvernement provisoire de la République algérienne. La dernière phase avait lieu à Evian. Mais la délégation algérienne résidait en Suisse, à Bois d’Avault, sous la protection de l’armée suisse. Tous les jours, un hélicoptère militaire suisse transportait Krim Belkacem, Saad Dahlab, Mohammed Seddik Benyahia et les autres représentants du GPRA vers Evian. Plusieurs fois, le mauvais temps avait cloué au sol les hélicos. La délégation algérienne rejoignait alors Evian en voiture banalisée, sous protection policière.
La villa de Bois d’Avault était à quelques kilomètres de l’aéroport de Genève. Elle avait été choisie par la délégation algérienne pour des raisons de sécurité. Une batterie antiaérienne avait été installée dans le parc, protégé par les grenadiers, les troupes de choc de l’armée suisse. La nuit, des projecteurs d’artillerie éclairaient le ciel. Un de mes amis, lieutenant grenadier, m’avait raconté que les responsables de la sécurité craignaient une attaque des « ultras » de l’Algérie française, contre la villa ou l’aéroport. Toutes les nuits, ses hommes ouvraient le feu sur des animaux, pris pour des agresseurs.
Pendant la longue négociation, les journalistes savaient peu de choses. Seuls quelques confrères étaient au courant. Parmi les mieux renseignés, mon patron, René Payot, qui déjeunait souvent avec la délégation française et qui dînait avec la délégation algérienne. Mais c’était un journaliste à l’ancienne, qui savait beaucoup, mais écrivait peu. Ses éditoriaux, rédigés à la main en pattes de mouche, étaient souvent des messages codés compris seulement des initiés dans les chancelleries.
La France et le GPRA avaient compris qu’il fallait donner du « biscuit » aux envoyés spéciaux, pour les empêcher d’écrire n’importe quoi. En mai 1961, la France invitait quelques journalistes à Oran. J’étais du voyage, avec des grands noms de la profession, les envoyés spéciaux du Monde, du Figaro, de France-Soir, de l’Agence France-Presse. C’était quelques semaines après le putsch des généraux du 23 avril 1961, une tentative manquée de coup d’État fomentée pour réclamer l’Algérie française par ceux que le général de Gaulle avait dénoncés comme « un quarteron de généraux en retraite ».
L’atmosphère à Oran était un peu surréaliste, sous le régime des pleins pouvoirs décrétés par De Gaulle. Quelques dizaines d’envoyés spéciaux, en tournée des popotes, baptisée Evian show par la presse « ultra », étaient baladés en autobus de l’armée française pour rencontrer « la vraie Algérie », celle qui ne s’était pas rebellée contre De Gaulle. Dans le bled, des officiers loyalistes expliquaient les bienfaits de la pacification. À Oran, le général Gambiez, commandant en chef en Algérie, arrêté par les putschistes, assurait que tout était rentré dans l’ordre. Mais, chaque nuit, Oran était parcourue par des activistes qui tapaient sur des casseroles au cri de « Algérie française ». Et, au moment du départ, devant notre hôtel, des Algériens nous suppliaient de soutenir la cause de l’indépendance.
Quelques semaines plus tard, la délégation algérienne invitait quelques journalistes suisses à Bois d’Avault. Avec mon rédacteur en chef, nous étions accueillis par Krim Belkacem, le vice-président du GPRA, qui sera assassiné en 1970. Entre des grenadiers suisses, le doigt sur la détente, le dirigeant algérien a pris par le bras pour une promenade diplomatique les envoyés du Journal de Genève, sous l’oeil jaloux de nos confrères. Il ne nous a bien sûr livré aucun secret, mais il voulait remercier le journal pour les éditos de René Payot. Lors de la conférence de presse, dans le salon de la villa, j’étais assis sur le même canapé que Réda Malek, Saad Dahlab, Mohammed Seddik Benyahia et d’autres dirigeants algériens, ce qui m’a valu une photo dans un hebdomadaire suisse.
Au lendemain des accords d'Évian, signés entre les représentants de la France et du GPRA, le 18 mars 1962, la délégation algérienne organisait une conférence de presse dans le petit village d’Aubonne, en Suisse. Dans un hôtel gardé par l’armée, une centaine de journalistes venaient assister à l’événement : le cessez-le-feu en Algérie. La veille, de Gaulle avait annoncé : « Si la solution du bon sens poursuivie ici sans relâche depuis bientôt quatre années a fini par l’emporter... » Le GPRA donnait sa version des accords d’Evian : la proclamation du cessez-le-feu, l’organisation du référendum d’autodétermination, les accords de coopération économiques et culturels.
J’ai eu le sentiment de vivre un moment d’Histoire, comme les autres journalistes, qui se ruaient sur le seul téléphone disponible au bar de l’hôtel pour dicter leur « papier ». C’était la fin d’une guerre qui s’appelait encore « pacification » et le début d’une longue période de tension entre la France et l’Algérie.
<<J'ai eu le même sentiment, de vivre un moment d'Histoire>>
La une du 19 mars 1962 de la Marseillaise (c) Copyright Journal La Marseillaise
Le 19 mars 1962, suite aux Accords d’Évian signés la veille, le cessez-le-feu est décrété sur tout le territoire algérien.
Ces accords mettent fin à près de huit ans d'une guerre qui a vu la France mobiliser 400 000 hommes et durant laquelle 250 000 à 400 000 Algériens auront été tués selon les chiffres les plus courus en France, et plus d’un million et demi selon l’État algérien. La France déplore 28 500 morts du côté des militaires, 30 000 à 90 000 Harkis, 4000 à 6000 chez les civils d’origine européenne, et environ 65 000 blessés.Une tribune pour les politiciens 53 ans plus tard, on aurait pu espérer que les historiens des deux rives de la Méditerranée restent les derniers intervenants de ce triste épisode de l’époque coloniale et qu’ils se consacrent à leur travail de vérité dans la sérénité.
Las, la basse politicaille s’en mêle toujours, et comme le montre la dernière sortie médiatique du maire de Béziers Robert Ménard, apparenté FN (lire page 3), avec toujours autant d’indélicatesse.
La loi votée en 2012 par les deux assemblées, désignant le 19 mars comme « journée nationale du souvenir des victimes civiles et militaires de la guerre d’Algérie » n’a rien changé à l’affaire.
Et l’extrême droite n’est pas la seule responsable des détournements historiques liés, à des fins électorales, à la guerre d’Algérie.
Dans le Sud de la France, avec l’espoir de récolter les voix des milliers de rapatriés, c’est bien la droite traditionnelle qui a ouvert le feu.
Dès les années 70 et avec plus de vigueur encore à partir des années 80.
Ainsi a-t-on vu fleurir les monuments à la gloire des « victimes » de l’Algérie française un peu partout près des côtes de la Grande Bleue.
A Nice en 1973, Jacques Médecin ouvre le feu avec un « Mémorial des rapatriés ». Puis à Toulon Maurice Arreckx lui emboîte le pas en 1980 avec son monument aux « Martyrs de l’Algérie française. » Ensuite, sont érigés ceux de Perpignan (2003) ou Marignane (2005) sous la houlette d'un maire d'extrême droite.
Le maire FN de Toulon Jean-Marie Le Chevallier, en 2000, avait d’ailleurs joué une partition proche de celle de Ménard, en baptisant pour sa part un carrefour du nom de « Général Raoul Salan », jouant comme à Béziers sur la dualité des CV des « vedettes » honorées, à la fois anciens combattants de la France libre et putschistes d’Alger...
Mais pour la droite française en général, l’objet cible du détournement historique, plus d’un demi-siècle après la fin de la guerre d’Algérie, reste malgré tout les Accords d’Évian.
Hier encore, l’agence France presse en faisait état dans une dépêche fracassante : Patrick Buisson, ancien journaliste du titre d’extrême droite Minute, aurait conseillé, pendant la campagne présidentielle de 2012, à Nicolas Sarkozy de dénoncer les fameux accords. Sans aucun doute pour flatter une partie de l’électorat d’extrême droite.
On saura dans les jours prochains quelle ampleur pourra prendre ce début d’info dans le contexte venimeux de la campagne électorale en cours.
Mais rien n’incite vraiment à l’optimisme, en ce jour anniversaire décidément particulier. Le cessez-le-feu du 19 mars 1962 ne fait toujours pas rimer la fin d’une guerre avec la réconciliation.
Claude Gauthier
***************************************************************************************************************************************************
Déclaration d'un prisonnier d'Oujda << : Tout d'abord. en 1962. vers la fin, f'OAS a mitraillé le camp (avec 2 T6}. Au second passage, la porte s'ouvre et les gardiens menacent de descendre tous les prisonniers si les T6 reviennent. Par chance, ceux-ci s'éloignent définitivement>>
***********************************************************************************************
Le Vendredi 9 Mars 2012
- l'auteur de ces lignes a fait remettre au Secrétaire d'Etat aux Anciens Combattants, en visite a Vivonne dans la Vienne, un courrier mentionnant un sujet occulté pendant 50 ans (Une réponse a été obtenue, le 10 mai 2012) a suivre........? car nous attendons toujours a la date du 31 octobre 2012 la réponse adéquate a ce courrier.?
Extrait
Devoir de Mémoires Monsieur le Ministre
Je suis un ancien combattant d’Algérie, Français de Souche Européenne, 2ème classe. J’ai suivi avec intérêt la dernière initiative de votre ministère,....etc à l’occasion de votre visite dans la Vienne, je voudrais attirer votre attention sur .
- les soldats du contingent français de souche européenne, (FSE) mutés, sans leur demander leur avis, dans les 114 Unités des Forces de l’Ordre algériennes, à partir du cessez-le-feu du 19 mars 1962.
Avant d’être muté dans une de ces 114 UFO constitués en Algérie, je vous précise que j’avais combattu en Algérie, pendant 10 mois comme mes camarades FSE. Pour ma part, j’ai été «rapatrié » dans mon régiment, le 2 juillet 1962 après les événements du 1er juillet 1962 à Guyotville. Mais je connais beaucoup de camarades FSE qui n’ont pas eu cette chance.
Mais il y a plus grave : nous découvrons que plusieurs camarades FSE, ont été abandonnés dans les UFO, dans toute l'algérie. Plusieurs ont été tués, plusieurs ont disparus définitivement.
Ceux-là ont été déclarés « Mort pour la France » par décision des tribunaux, plusieurs mois après et sans que leurs familles en apprennent plus sur leur sort.
Avec quelques camarades, et, avant que nous ayons tous disparus ?, nous cherchons à savoir ?
Qu’a fait notre pays pour les retrouver et rapatrier leurs corps ?
- Cet épisode de la guerre d’Algérie a été occulté par tout le monde. Noyé dans la masse des situations aussi tragiques, il n’apparaît nulle part. Nos régiments ne s’occupaient plus de nous durant la période de transition « force locale» et les journaux de marche déclassifiés sont muets.
Nos associations d’anciens combattants n’en savent rien ?
Cependant, nous sommes un certain nombre qui souhaiteraient que l’Histoire reconnaisse que nous avons été victimes d’une situation que nos dirigeants nous ont imposée.
Nous avons tous, la carte d’ancien combattant, mais cet épisode a été très traumatisant, pour moi et pour plusieurs de mes camarades retrouvés dans toute la France***
*** ( Rajout pour ce site - - Mon ancien camarade de Vivonne, prit en otage le 1er juillet 1962 se retrouva menacé de mort a chaque instant avec 28 camarades militaires FSE dans les montagnes de Blida, avec 1200 mutins ( militaires force locale et civils) surtout, lorsque l'aviation de l'armée française qui enfin, avait décidé d'intervenir pour des recherches, les survolait dans le ciel Algérien.Fut déclaré déserteur comme moi a l'issue de ces évenements. - Voir dans ce site (- Témoignages écrits par mes chefs) le rapport du 5 juillet 1962 )
Il a surtout coûté la vie à des camarades « morts pour la France dans l’Armée Algérienne », que nous découvrons fortuitement et ceci est encore plus grave et mérite examen et reconnaissance.
C’est pour cela.........etc. Je vous prie de recevoir, Monsieur le Ministre, l’assurance de mes meilleurs sentiments, et mes salutations distinguées. Yvon Priou
******************************
***.( coïncidence cette cérémonie dans la commune d'un de mes anciens camarades et la venue du Ministre des Anciens Combattants alors que le courrier était fait
***En particulier un enfant né sur la Commune de Vivonne, il y a 71 ans R....B. pour qui j'ai eu une pensée en ce jour du 9 mars 2012 ce qui m'a permits d'interpeler Monsieur le Maire de Vivonne, et saluer Monsieur le Ministre aux Anciens Combattants, pour lui dire que j'attendais une réponse au courrier qui lui avait été remis.
*************************************************************************************************************************************
(Ci-dessous) Courrier n'ayant reçu aucune réponse a ce jour sur le même sujet
Courrier n'ayant reçu aucune réponse a ce jour, 17 mars 2012, de la Présidence de la République Française
Monsieur Priou Yvon Le Linot le 27/11/2010
Ancien Combattant d’Algérie 1961-1962
A Monsieur le Président de la République Française
Objet : Devoir de Mémoire pour l’histoire.
- Militaires européens versés dans les unités de la force locale de l’ordre Algérienne, aux ordres de L’Exécutif Provisoire Algérien après le Cessez le feu du 19 Mars 1962, en Algérie - Période transitoire après le 19 Mars 1962 en Algérie et la - Loi du 18 octobre 1999- sur la Guerre d’Algérie modifiant - la loi 74- 1117 opérations de sécurité et de maintien de l’ordre en Algérie sans changer les dates)
Monsieur le Président
Je persiste par cette lettre pour vous redemander une réponse, à la question restée sans réponse à ce jour que je vous avais posée dans un courrier du 17 novembre 2009, compte- tenu de documents reçus depuis.
- Documents des Archives de Vincennes, du service des Archives Historiques de la Défense, prouvant l’installation de 114 unités U.F.O avec 90 % F.S.NA et de 10% de F.S.E * au 15 avril 1962 sur tout le territoire de l’Algérie.
- Compte- tenu « d’une passation de pouvoirs» effectuée en Algérie
- A l’occasion d’une prised’Arme effectuée a Alger au Rocher Noir, le 21 avril 1962 avec Monsieur Fouchet Haut commissaire de France en Algérie et le Général De Menditte (Commandant le secteur d’Alger). (Internet vidéo I.N.A force locale) - a Monsieur Adhéramane Farés (libéré de prison de France le 19 mars 1962) nommé par décret du 6 avril 1962, (– Journal officiel de la république française du 7 Avril 1962) Président de l’Exécutif Provisoire Algérien du Gouvernement Provisoire de la République Algérienne - et a Monsieur M Omar Mokdad Ancien Commandant de l'armée Française Préfet de Saida, nommé, Directeur des forces locales, le 9 avril 1962 - JO de la république française du 10 Avril 1962
- Et - compte tenu du discours du Président de L’Exécutif Provisoire Algérien, Monsieur Adhéramane Farés à Koléa le 23 Mai 1962 devant une compagnie de la force locale (Internet vidéo I.N.A force locale et du discours prononcé - A.F.P du Rocher-Noir du 23 Mai 1962 voir ci-joint)
Je vous renouvelle la même question par cette nouvelle correspondance.
- Que sont devenus pour l’histoire ? - Les militaires Français européens qui ont été versés, pour l’encadrement des forces locales de l’ordre Algérienne, aux ordres de L’Exécutif Provisoire Algérien au cessez le feu du 19 Mars 1962 en Algérie.
Etions-nous prisonniers? Etions-nous sacrifiés? Etions-nous des otages ? Où étions nous, simplement des « collaborateurs» pendant cette période, avant d’avoir été traité de déserteurs par la presse, la radio, la télé française, début juillet 1962 ?
(Car il est a signaler - « que l’intelligence avec l’ennemi et la collaboration sont, en temps de guerres, considérés comme crimes de guerre et donc passible de la peine de mort ! » de Hugues Dalleau Membre du Haut Conseil de la Mémoire Combattante,Président de l’U.N.C.-.A.F.N Editorial- La Voix du Combattant N° 1690)
En espérant une lecture bienveillante de ce nouveau courrier, et en attendant une légitime réponse, Veuillez, recevoir Monsieur le Président de la République Française, l’expression de ma haute considération.
Mr Priou Yvon
**********************************************************************************************************************************
Voir sur Internet -film sur la guerre d'Algérie a la date du 12 mars 2012
http://www.youtube.com/watch?v=wfb36UNaSBA&feature=player_detailpage
********************************************************************************************************************************
Extraits de mes écritures de mon livre
Le 17 et le dimanche 18 mars 1962 Yvon était aussi sorti sur le terrain, mais là, nous étions simplement en observation (chouff), dans l’ancien poste Ouled-Idir prés de Rhassira
18 Mars 1962 signatures des Accords d'Evian
Yvon se souvient, qu’il avait eu cette dernière nuit-la, du 18 au 19 sur le terrain encore en temps de guerre, un gros problème dans ce poste abandonné.Une souris s’était invitée dans son sac de couchage en toile, et, elle voulait sortir de ce piége, par l’ouverture du sac de couchage, que yvon, toujours frileux avait bien attaché autour de son cou, pour se garantir du froid et bien dormir.Plusieurs fois instinctivement dans son sommeil, yvon repoussait « quelque chose » avec la main, de son cou qui le gêner. Ce n’est qu’a la troisième ou quatrième tentative, que cette bestiole qui essayait de franchir et de forcer ce « barrage » pour sortir, réveilla yvon pour de bon.
C’était une souris. Lorsque celle-ci chercher la sortie, il l’a repoussée et la souris retournait, faire un tour, vers le fond du sac de couchage
Réveillé par ce rêve qui n’en était pas un, et sortant précipitamment de son sac de couchage yvon était bien décidé de faire subir un triste sort à cette souris, qui venait de l’effrayé. Mais, il ne put prendre que simplement un chargeur de P.M, qu’il avait sous la main, pour essayer de combattre cette bestiole sans trop réveiller ses camarades qui dormaient paisiblement. La souris lui échappa, au milieu de ses camarades immobiles endormis.
C’était ensuite ce jour-là, après le retour confiant au poste, et le rassemblement au grand complet de toute la compagnie, a midi avant le repas. Et la lecture du télégramme sur le cessez le feu effective intervenu a partir de midi, par le capitaine commandant en chef le poste
A toutes les forces de l’ordre
Cessez-le-feu lundi 19 Mars midi. Stop Instruction pour application exécutoire même jour, même heure. Signé Ailleret, commandant en chef
********************************************************************************************************************************
Le cessez le feu du 19 Mars 1962 a Tifelfel commune de Rhassira, Wilaya de Batna, dans les Aurés avec le 4ème BCP
extrait de mon livre "Yvon Lemarginal" page 5 Chapitre 12 - Les Accords d'Evian
"Yvon 2ème classe venait de recevoir, l'ordre le 19 mars 1962 dans le début d’après-midi, avec six autres camarades
d'aller au village de Rhassira pour annoncer à la population, le cessez le feu et les Accords d'Evian qui avaient été signés,
Lorsque l’aspirant est venu nous chercher quelques instants plus tard, nous étions équipé du minimum, c’est à dire que chacun avait prit un fusil et quelques cartouches dans les poches.
ous n’avions pas accepté d’y aller, sans arme à feu,( comme l'Aspirant nous l'avait demander et nous n'avions pas le droit de patrouiller sans fusil)
Là-bas ou en route, des problèmes auraient pu nous arriver. Car, même avec les armes et les quelques munitions, que nous avions prises et que nous avions dissimulées dans nos poches, ce n’était pas suffisant. Car, pour notre arrivée, au village de Rhassira, tous les habitants sortaient de leurs mechtas, vivement.
Nous n’étions pas assez nombreux, vis a vis, de toute cette innombrable population, en effervescence qui sortait de partout ! Celle-ci, était déjà, bien informée, par les fellagas et les hommes du maquis qui étaient déjà de retour, dans leurs foyers.
Heureusement, toute cette nouvelle population n’a pas eu à notre égard de mauvaises réactions, car, a sept nous n’étions pas en nombre suffisant, pour pouvoir faire quelque chose et nous défendre valablement et nous avions que le petit poste radio
Par obligation, des poignées de mains furent échangées, après quelques paroles banales de circonstances.
Mais que ce moment avait été dur, pour Yvon ! Que notre position était délicate ? Se retrouvait, face à nos adversaires du matin, qu’il était facile d’identifier à leurs visages. Ils ne portaient pas d’armes, et nous, qui étions obligés, de leur tendre la main par politesse.
Nous avions pris le chemin du retour, avec un immense soulagement, pour cette dernière patrouille « armée » Nous avions rejoint notre campement, pour rendre compte, de ce que Charlot lemarginal, croyait être, notre dernière mission, en Algérie
Pour une fois, nous avions été, des bons informateurs et des vrais pacificateurs
Depuis, devant un monument aux morts où il se recueille toujours le 19 mars depuis 1963 Yvon ne peut s’empêcher de penser à cette « entrevue historique de Rhassira » où nos adversaires du matin avaient été, et étaient restés dignes
Cette mission et cette rencontre que l’armée française nous avait commander d’accomplir cet après midi-là, « fut occultée » par la suite, par beaucoup de responsables et n’est pas a l’honneur de l’armée française
Aucun gouvernement Français, n’a encore voulu reconnaître ensuite, pour ce cessez le feu, une logique commémoration officielle.
Il est vrai que le 23 mars 1962, a Bab El Oued les assassinats des militaires du contingent, que Yves Courrières a raconter dans ses ouvrages en 1970 ont put passer "pour pertes de guerres" et, permet, avec les innombrables - Morts pour la France - suites de Blessures et ceux - Morts pour la France - suites de Maladies consecutives aux suites de Blessures - aprés le cessez le feu du 19 mars 1962 de comptabiliser un nombre impréssionnant de disparus
Sur Internet a cette date on peut lire - 23 Mars 1962 : 23 attentats, 15 morts, 42 blessés.(manquent bien sûr les chiffres censurés.
- Nombreux hold up (le plus rentable, celui de la banque de france à Oran, deux milliards d'anciens francs). Il y avait beaucoup plus d'argent, mais le commando manquait de sacs.
Yvon Lemarginal, qui a eu la chance, de revenir de « là-bas » se réjouit de pouvoir écrire maintenant cette « mission spéciale effectuée le 19 Mars 1962», que très peu de militaires n’ont pût effectuer ce jour là en Algérie
Cette mission « délicate » ne fut pas la dernière que Yvon a effectuait en Algérie ; Car d’autres missions tous aussi périlleuse allaient-lui être confié ensuite, sans qu’on lui demande son avis. (voir site)
Du 19 mars au 10 avril 1962, à Tifelfel, il n’y eut plut de complications, l’arme était enchaînée au poste de surveillance ; Personne, ne fit d’objection a nos chefs militaires, mais cela faisait insolite, d’être sentinelle et ne pas avoir, d’armes pour se défendre. Nous n’avions plus qu’une grenade a dégoupillé, au milieu de ce magnifique djebel nouvellement coloré. De partout, des drapeaux vert et blanc, flottaient, sur toutes les mechtas dispersées autour du village.
**********************************************************************************************************************************************************
Sur Internet A Tunis, avec le GPRA Les Actualités Françaises - 21/03/1962 - 17s
Et 50 aprés Publiée le 21 mars 2012 par michel3793 la cérémonie a Paris du 19 mars 2012
http://breaux.skyrock.com le 50e anniversaire du cessez-le-feu en Algérie du 19 mars 1962 à midi
****************************************************************************************************************************************************************************************
En Avril 2006 J..... L...... du département de l’Ain a raconté dans L’Ancien D’Algérie N° 436, pour « Enquête » « j’ai rencontré pour vous » par Gérard Marinier Page 16 « Pour en revenir au cessez le feu, j’ai reçu le message officiel que j’ai remis au capitaine et le lendemain matin, j’ai dû partir avec lui pour rencontrer le chef local du FL N. Je n’en menais pas large. Nous étions deux et nous allions nous trouver face à face avec celui que nous avions combattu pendant plusieurs mois avec une centaine d’hommes. J’étais sûr que nous n’allions pas revenir. Le capitaine a rencontré le chef algérien et ils ont longuement discuté sur la fin des opérations militaires. Et nous sommes revenus… sains et saufs ! »
<<
Copie d'un témoignage (2013) d'un ancien combattant d'Algérie (Alain) relevé dans la Presse 2014
Le jour de la signature des Accords d'Evian, ou, le lendemain, Alain ne s'en souvient plus avec précision, les soldats de son unité ont été envoyés au poste de El Meridj. C'est qu'ils ont ouvert l'une des nombreuses portes qui jalonnaient la ligne Morice.
"On a ouvert pour laisser entrer les soldats de l'armée algérienne. A cet endroit ils n'étaient qu'une petite unité d'une cinquantaine d'hommes.Ils sont passés en bon ordre et nous avons fait des salutations. Je crois que certains ont échangé des paquets de cigarettes. Nous avons aussi regardé leurs armes car elles étaient différentes des nôtres. Dire que la veille on se tirait dessus"
De ce moment fort, Alain retient le geste symbolique d'avoir ouvert les portes.. Pour lui, depuis 1962 le 19 Mars est la date officielle évidente et incontestable de la fin de la guerre d'Algérie
****************************************************************************************************************************************************************************
Un article pris sur la Nouvelle République du Centre _Ouest
« Le Poste de M…. aurait été occupé par les hommes du F.L.N avant le cessez le Feu »
« Un Officier Algérien Si Abdallah, qui s’avançait vers le Colonel Français, venu discuter des conditions du cessez le feu, aurait été capturé par les troupes françaises qui ont encerclées la garnison. »
*********************************************************************************************************************************************
fr.wikipedia.org/wiki/Organisation_armée_secrète
***************************************************************************************************************************************************************************************
Un autre témoignage prit sur Internet
Le cessez-le-feu… et le refus du cessez-le-feu
Le 19 mars 1962, quand la radio annonça le cessez-le-feu, nous nous sommes précipités dans le village. Nous voulions faire la fête avec les habitants mais le FLN avait donné des consignes pour éviter des effusions qui pourraient déborder. Je confiai à Akri que je m’étais bien amusé à le voir s’asseoir toujours sur le même rocher, visible de loin, à chaque fois que des militaires arrivaient en vue du poste. Il en avait bien ri lui aussi. Il m’avait dit que j’étais comme son frère et qu’il fallait que je revienne quand l’Algérie serait indépendante.
Ailleurs cependant les gradés avaient décidé d’ignorer le cessez-le-feu et de continuer les patrouilles et les embuscades. Des hommes et des femmes pris dans l’ex-zone interdite étaient ramenés au poste, tabassés, enfermés dans un silo. Et puis un jour que les harkis étaient une fois encore appelés par un sous officier à collaborer avec l’OAS : des rafales de PM. On relevait trois morts, ( le sous-officier et deux harkis ) et plusieurs blessés pendant qu’un groupe de harkis s’enfuyait. Les enquêteurs du PC firent disparaître les douilles et firent retomber la responsabilité de la fusillade sur les appelés. Deux de nos camarades furent accusés auprès du tribunal militaire de refus d’obéissance ayant entraîné la mort de trois hommes !
Quelques jours après le maquis de l’OAS fut attaqué par l’ALN. L’armée française prit le relais et poursuivit les rescapés. L’aventure était terminée.
Le moment d’abandonner le poste arrivait. Le jour de notre départ une grande partie des habitants s’était rassemblée. Ils étaient évidemment heureux de pouvoir retourner sur les lieux de leurs maisons quand elles n’avaient pas été détruites. Cependant l’instant était chargé d’émotion. Les relations que nous avions eues avec eux montraient qu’ils faisaient la différence entre les militaires qui se livraient à la répression et ceux qui n’approuvaient pas cette guerre. Des enfants pleuraient. Nous savions que nous ne les reverrions plus et nous étions bouleversés.
C’est au poste où la fusillade avait eu lieu que nous nous sommes retrouvés. La tension entre appelés et militaires de carrière était loin de s’apaiser. Pendant que ceux-ci tambourinaient les cinq coups d’Algérie Française sur des assiettes en métal, nous resserrions les rangs : déplacements armés à l’intérieur même du poste (jusqu’à ce qu’on nous retire nos armes) garde de nuit devant notre dortoir. Il fut décidé de constituer un dossier avec des témoignages, à faire parvenir à Rocher Noir (où venaient de s’installer les services du Délégué Général du Gouvernement) pour défendre les deux camarades qui avaient été accusés (ils furent finalement acquittés par le tribunal militaire).
De retour à l’escadron, je constatais que le cessez-le-feu n’y était pas mieux respecté. Des maquisards de l’ALN qui se rendaient dans leur famille étaient interceptés et conduits au PC pour être interrogés. Dans un escadron voisin, des appelés étaient tombés sur un groupe important de maquisards de l’ALN. Ils avaient pris contact sans incident. Quelques heures après, sur l’initiative d’un lieutenant qui s’était empressé de faire appel à des renforts, le groupe était encerclé et emmené prisonnier à Miliana.
Le temps de la Force Locale et les premiers jours de l’indépendance
Après cela, j’ai été affecté dans une unité de la Force Locale qui était presque entièrement composée d’appelés algériens. Les relations entre eux et notre petit groupe d’appelés français étaient vraiment bonnes ainsi qu’avec le capitaine, lui aussi algérien. Par contre, avec les quelques militaires de carrière qui étaient présents et qui continuaient à trafiquer avec les activistes locaux de l’OAS, c’était bien plus que de la méfiance.
Début juillet , toutes les forces locales de la région rejoignirent l’ALN. L’indépendance venait d’être proclamée. Partout, c’était la fête.
De retour dans un escadron, le capitaine me donna la responsabilité de l’approvisionnement. Les barrages étaient désormais tenus par l’ALN où je retrouvais les anciens de la Force Locale qui ne me faisaient bien entendu aucune difficulté pour circuler.
Un jour je fus envoyé à Alger avec une ambulance qui transportait de faux malades, en réalité des harkis qu’il fallait soustraire aux recherches de l’ALN. Je n’étais pas très fier de cette mission. Ils avaient peut-être accompli de sales besognes mais la terrible épuration qui était en cours (souvent le fait de résistants de la dernière heure) était effroyable …
Les évènements tragiques qui se sont produits dans l’Algérie indépendante ont donné des arguments aux nostalgiques de l’Algérie française mais le combat pour l’indépendance n’en était pas moins historiquement juste. Les appelés qui ont été contre la guerre et des militaires comme le général de Bollardière qui a dénoncé l’usage de la torture ne trahissaient pas leur patrie. C’est leur patrie qui trahissait alors des valeurs universelles. Cinquante ans après la fin de la guerre, la coopération entre les peuples français et algérien passe toujours par une connaissance et une reconnaissance des faits, de tous les cotés.
Bernard
Avec le commando Jaubert aussi la guerre n'était finie.
Copie Internet
On peut lire a la page 596, 597 et 598 du livre de Georges Fleury "La guerre d’Algérie", Chez Plon 1993.
(Copies extraites) Les modalités du cessez le feu ne sont pas respectés à la lettre "..." ou, "..." ont été mêlé, "..." le lieutenant de Vaisseau Champierre de Villeneuve du commando Jaubert et le Colonel commandant le secteur de Geryville "..
." le 14 Avril 1962, la Katiba 534………ont été repérés les derniers rebelles de la Willaya 5.
Il ne s’agit plus d’une banale intervention destinée à faire respecter les Accords d’Evian ?
Deux militaires sont tombés : Yvon Récher et Jean claude Robelin
Deux militaires sont tombés ? Mais 9 sont répertoriés ce jour-là : 12 maintenant dans mémoires des Hommes, a cette date ?
Le commando Jaubert (1ère compagnie du groupement des commandos marine) fort de 80 hommes dirigé par le Lieutenant de Vaisseau Champierre de Villeneuve campe à Géryville pour veiller à la stricte application des accords entérinés par les 2 partis à Evian. Les soldats de l'ALN que les matafs ne peuvent plus appeler rebelles s'enhardissent au fil des jours. Ils rôdent de plus en plus souvent dans les larges campements de regroupement de nomades qui étalent leurs khaimas le long de la route Géryville-Bou Alem qui se situe plus à l'est du campement des commandos. (rappellons que les déclarations d'intention d'évian avaient indiqué que les troupes FLN ne bougeraient pas de leur zone).
Des harkis placés sous la protection des matafs signalant de nombreux déplacements des gens de l'ALN jusqu'à ces campements de nomades, de Villeneuve décide de mettre un frein à ces débordements de ces anciens rebelles qui ne sont pas encore tout à fait les maitres du grand sud et qui ne respectent pas les accords. Un avion de surveillance Piper (non armé) survole la zone suspecte placée dans la zone d'influence Française et observe les gens de l'ALN installés dans un campement nomade, et ont même installés leurs tentes (khaimas) au milieu d'un immense troupeau de dromadaires.
Il est décidé par le commandant du secteur (colonel d'artillerie, officier le plus gradé du secteur) d'aller vérifier et éventuellement faire appliquer les accords en renvoyant les gens de l'ALN dans leur zone prévue. Les hélicos HSS de la 32F de la Marine (commandée par le lieutenant de vaisseau Debaeker) embarquent 8 sticks de 8 commandos (3 sections de combat à 20 et 1/2 section de commandement) et vont aller se poser sur la zone concernée.
Un hélico d'appui canon (canon de 20mm en sabord tribord) survole les khaimas suspectes et vérifie que la katiba déborde sur les privilèges qu'elle a gagnés sur le tapis vert des négociations. De Villeneuve survole également la zone en Alouette 3, quand il aperçoit une dizaine d'hommes en djellabas qui courent en direction des hauteurs au nord surplombant le village. Les sticks de commandos sont déposés au sol, les suspects apercevant les bèrets verts se débarrassent tout en courant des djellabas recouvrant leurs tenues de combat. D'autres combattants restant eux au beau milieu de la population qu'ils ont regroupée afin de s'en faire un bouclier humain. De Villeneuve de son observatoire volant renonce à faire tirer l'hélico canon car il risquerait de toucher et de tuer des civils innocents.
Une partie des commandos se rapprochent des Algériens, les autres cernent le campement . Une rafale de fusil mitrailleur part des rangs des Algériens et le matelot fusilier Reicher est aussitôt touché, puis c'est le tour du quartier maitre fusilier Robelin à être blessé. De Villeneuve de son Allouette ordonne le contre feu aux troupes du sol, puis se fait déposer pour rejoindre ses hommes au combat.
L'enseigne de vaisseur Raguet et sa 1ère section (20 hommes) se lance à la poursuite des combattants armés du FM qui les a allumé. Deux de ses fusiliers, Miossec et Robineau sont atteints par les rafales tirés par les Algériens, de Villeneuve fait donner l'hélico canon vu que les combattants Algériens qui se trouvent sur les hauteurs loin des civils du campement les allument et sont fortifiés dans les rochers. Le canon de 20 traite les hauteurs par courtes rafales, des rebelles sont touchés. Les commandos montent à l'assaut, des rafales de Mat 49 et des explosions de grenades les accompagnent, Raguet et sa section sont au contact annihilant toute résistance puis faisant taire le FM. Le feu cesse peu à peu, les rebelles sont toujours au milieu du campement de nomades effrayés qui les protègent malgré eux.
L'Alouette 3 a ramené le commandant du secteur qui ordonne le cessez le feu, qui considère que l'affaire a pris des proportions dépassant la simple application des accords de paix. Les commandos ont comptés lors du combat dans les rochers 27 cadavres de rebelles en uniforme de l'ALN, rembarquant dans les hélicos, ils emportent avec eux les armes récupérées, leurs 3 blessés et la dépouille de Reicher,.
Le calme reprend dans le campement nomade où les rebelles ont trouvé refuge, l'intégrité du campement n'a jamais été menacée, les civils n'ont jamais été en danger. De retour au campement de Géryville Robelin meurt quelques heures après et reste le dernier des 55 commandos marine en béret vert tombés pendant la guerre d'Algérie.
Voilà, ce qu'il s'est passé ce jour -là ! (témoignage recueilli sur internet de "Old Flanker").
***********************************************************************************************
copie extraite du journal le Monde du Mardi 7 février 2012
Guerre d'Algérie : l'histoire en révision
LEMONDE.FR | 07.02.12 | 09h22 << Dans quelques semaines, seront commémorés, ici et là, le cinquantième anniversaire des Accords d'Évian puis celui de l'accès de l'Algérie à l'indépendance. Ces événements ont mis fin à des mois de terreur, orchestrée, des deux côtés de la Méditerranée, par les factieux de l'OAS, Organisation armée secrète, créée en février 1961 pour s'opposer à la politique de décolonisation mise en place par le général de Gaulle.Longtemps, la guerre d'Algérie, épisode honteux qui a souillé la France d'après-1945, a fait l'objet d'un consensus de refoulement collectif, malgré les initiatives courageuses de certains historiens tels que Benjamin Stora.
Aujourd'hui, le tabou tombe.
Paris a été, le 6 octobre 2011, la première institution française à témoigner officiellement de reconnaissance à l'égard des victimes en leur dédiant un monument au cimetière du Père Lachaise. Ce geste demeure cependant isolé. En effet, loin d'une condamnation rétrospective des 2 700 assassinats perpétrés par les nostalgiques de l'empire colonial, nous assistons au contraire à une consécration de leur mémoire, au mépris des victimes de leurs actes odieux.
Ayant survécu à un attentat dirigé contre le ministre André Malraux le 7 février 1962 et à la suite duquel, grièvement blessée, j'ai perdu la vue, je serais non pas une victime mais une "bavure", selon une confidence récente d'un vieil activiste - pas du tout repentant - à un journaliste.
J'avais jusqu'alors gardé le silence. Je choisis de le rompre ici pour dire ma révolte.
Sous le couvert d'hommages a priori légitimes rendus aux morts, des stèles ont été élevées non à la mémoire mais bel et bien à la gloire de criminels de l'OAS, pourtant condamnés en leur temps par la justice française. Dans les municipalités où ces impudents cénotaphes ont vu le jour, l'idéologie extrémiste et le révisionnisme ont triomphé à la fois du sens commun et de l'esprit républicain : pas de tueurs de l'OAS, mais des combattants, des résistants, des patriotes ; et, dès lors, pas de crimes non plus, mais des exécutions et pas de victimes, mais des traîtres ou simplement des bavures !
Le 28 novembre dernier, le chef de l'État lui-même a apporté une contribution éminente à l'excitation des passions mémorielles en remettant personnellement la plus haute distinction de la Nation au légionnaire putschiste Hélie Denoix de Saint Marc et en érigeant ainsi en modèle la rébellion contre l'autorité légitime. Peu après, le 10 janvier, lors d'une audience du tribunal administratif de Marseille liée à un recours contre l'édification d'une stèle magnifiant l'OAS dans un cimetière de Marignane, l'on a pu entendre l'avocat de la défense parler tranquillement des "prétendus assassinats" reprochés à l'organisation terroriste !
Aujourd'hui, le révisionnisme glisse vers un véritable négationnisme. À l'oubli des victimes succède la négation de la réalité des faits auxquels cette guerre sale a donné lieu de la part des ultras de l'Algérie française.
Selon Élie Wiesel, "tolérer le négationnisme, c'est tuer une seconde fois les victimes."
Il est des ressorts sur lesquels l'extrême-droite s'appuie pour sa montée en régime : l'Histoire nous l'a appris et elle adore bégayer. Nous sommes tous concernés par une République qui s'oublie au point de commettre des attentats à la vérité en honorant ceux qui ont eu recours à la barbarie pour tenter de renverser l'ordre démocratique.
Le 8 février, rappelant la responsabilité écrasante de l'État dans les neuf morts du métro Charonne, nous célébrerons, à travers eux, le sacrifice de tous ceux qui sont tombés sous les coups de l'OAS. N'oublions pas, certes, mais surtout souvenons-nous, car la mémoire est une action en marche.
Delphine Renard est aussi l'auteur de Judaïsme et psychanalyse : les "discours" de Lacan, à paraître aux éditions du Cerf (printemps 2012)
Delphine Renard, pour l'Association nationale pour la protection de la mémoire des victimes de l'OAS
*********************************************************************************************************************************************************************
Inter actualités de 12H30 du 2 avril 1962
***************************************************************************************************************************************************************************************
15 Avril 1962 - 15 Avril 2012
Au 15 avril 1962, j'ai été détachés pour une incroyable mission
Au service de notre nation
Une force locale de l’ordre Algérienne*, fut crée à Challain en France
Où, il y avait trois ministres et quatre délégués pour la France
et sept délégués du F.L.N*², dans le Jura le 12 février 1962
Cela devint par la suite, les accords d’Evian du 18 mars 1962
* des crédits furent votés par les parlementaires français, en novembre 1961
*² F.L.N. Front de libération Nationale
Simple troufion, après le 19 mars 1962, pour la période de transition
Dans la force locale de l’ordre Algérienne, j’ai donc été mis aussi à la disposition
Et aux ordres de l’Exécutif Provisoire Algérien, comme d’autres européens
Sur décision, pour l’encadrement militaire algérien.
Contrairement à Michel Debré, qui, avec le gouvernement,
En France, le 12 Avril 1962, était démissionnaire
Nous, Européens, Militaires du contingent,
Il n’y a pas eu d’objection à faire
Tout citoyen a le devoir, pour mourir pour sa patrie, mais nul n’est tenu de mentir pour elle « Montesquieu»
En Algérie, pendant cette période il fallait se taire
Plaire, et être continuellement exemplaire
Malgré notre situation toujours précaire
Nous étions, que de simples MILITAIRES
Nous n’avions jamais été VOLONTAIRES.
Et nous n’étions pas « des mercenaires ! »
Et après avoir serrer la main le 19 Mars 1962, a quelques-uns de nos adversaires
Il a fallu ensuite, pendant 85 jours, « que moi j’accueilles » au poste, « un émissaire »
Nous devions représenter correctement notre NATION, « sous la bénédiction »,
De l’armée nationale de libération (A.L.N*) « SANS MEDIATISATION »
Pour servir notre patrie, la France, comme cela avait été décidé
A Challain, aux Rousses et à Evian par les plus hautes autorités
Au début, nous étions que 25 Militaires Français européens
Dans cette nouvelle unité de l’armée Algérienne, au service du peuple Algérien
Dans la force locale de l’ordre 434, il a fallu beaucoup de patiences
Avec le rassemblement de tous ces militaires musulmans, de toutes tendances
Au milieu de ce djebel des Aurès, à Tkout entre Arris et Biskra
Ou, pendant de trop nombreuses années, nous avions combattu les fellagas
***************************************
Inter actualités de 19H15 du 17 avril 1962
Inter actualités de 19H15 - 17/04/1962 - 31min31s
BONS RAPPORTS ENTRE MR FOUCHET ET L'EXECUTIF PROVISOIRE. - GRAVES INCIDENTS A ORAN. - LE MAINTIEN DE L'ORDRE RESTE L'INQUIETUDE DE L'EXECUTIF PROVISOIRE (2'). -: MR JOXE ENVISAGE UN VOYAGE EN ALGERIE. L'EXECUTIF A PRIS CONTACT AVEC LES PREFETS. - REUNION A TUNIS DE L'EXECUTIF FLN AU COMPLET : PROBLEME DE LA RENTREE DE L'ALN AU SEIN DES FORCES LOCALES ...........40 personnes seulement ont réécouté ces informations en 2012 que nous avons vécu nous militaires, sur le terrain en 1962
*************************************
Inter actualités de 19H15 du 19 avril 1962
Inter actualités de 19H15 du 20 avril 1962
Voir aussi ou écouter plutôt sur- INA Force locale - Inter actualités de 19H30 du 21 avril 1962 ou
- . MR CHRISTIAN FOUCHET A REMIS LE COMMANDEMENT DE LA FORCE LOCALE A MESSIEURS FARES ET AU PREFET MOKTA QUI EN EST LE DIRECTEUR (1'45"). Inter actualités de 19H30 - 21/04/1962 - 27min46s, qui a été écouté que par 60 personnes !
**************************************************************
Inter actualités de 08H15 du 22 avril 1962
Inter actualités de 08H15 - 22/04/1962 - 23min
Inter actualités de 19H15 du 29 avril 1962
Inter actualités de 19H15 - 29/04/1962 - 29min08s
121 vues - Libération par le FLN de 5 prisonniers (250 seraient encore retenus prisonniers ? )
*******************************************************************************************************************************************************
Le 30 Avril 1962, dans ce coin perdu des Aurés, au P.C de la Force locale 434 à Tkout nous avions eu la visite d’une journaliste* ?
Elle été accompagnée par des responsables ? et des autorités militaires du secteur dont un colonel qui était venu nous voir dans « notre prison ».
Cette femme, fut par nous tous, déshabillée des yeux. Une femme dans un poste de l’armée, dans les Aurès ! ce n’était jamais arriver!.
De quel journal venait-elle ?- Avait-elle écrit un article ensuite ? Qu’est- elle devenue ? A-t-elle put témoigner
A cette date, a-t-elle put percevoir, la situation réelle des militaires de la 434èmeUFL
Depuis l'écriture de cet article. J'ai retrouvé des photos envoyés par des amis qui prouvent que c'était une prise d'Arme pour la prise de commandement, par les autorités civiles de notre unité 434
********************************************************************************************************************************************************************************
Inter actualités de 19H15 du 4 mai 1962
Inter actualités de 19H15 - 04/05/1962 - 29min43s 25 vues
*************************************************************************************************************************************************************************************
Quelques lignes de mon livre pour ceux qui ont crapahutés dans les environs de Tkout Aurés
Le 15 mai 1962, dans l’après-midi sur l’Hamard Kraddou, dans les Aurès à 1550 m d’altitude, Yvon avait eu droit a une balade. Au bord de ces nombreuses falaises pleines de rudesse où un Nord Atlas pendant la guerre avait été abattu ou s’était écrasé, quelle merveilleuse sortie dans le djebel, Yvon a effectué, en service commandé, incroyable ! Mais vrai !
Avant, sur ces sommets de l’Hamard Kraddou, cette montagne tant redoutée, il fallait y aller, toujours très nombreux, un bataillon au moins, très bien armé, souvent et même toujours avec l’aviation au dessus de nous.
En jeep ce jour-là, Yvon était seul, planton avec son régime de faveur, avec le chauffeur M…. jacques et le Capitaine Goetz Lucien pour cette promenade « non organisée ».
Quelle sensation ? De se retrouver dans un lieu ou s’étaient déroulés des durs combats
Yvon Lemarginal était dans « les nuages » ! Dans cette nouvelle circonstance.
Il repensait a tout, dans cette situation-là,..... inespérée !.
Le capitaine Commandant de la Force locale voulait voir avec ses jumelles je crois, si des mouvements de troupe ou de foule, avait lieu autour du village de Tifelfel rien ne pouvait empêcher par la suite, que Charlot s’en souvienne
Inimaginable presque seul, au milieu de cet immense djebel, bien sûr, avec le chauffeur de la jeep M…. originaire de la Vienne. a contempler, quelques minutes la vallée de « Rhassira », sur Tifelfel
dans la jeep immobilisée, en réfléchissant
pendant l’espace de quelques instants
il lui était venu en cette circonstance, en mémoire
tout ceux qui de France, dans les Aurés, ici,
sur cette montagne, y avaient laissé leur vie
pour une période et un moment d’histoire
***************************
Inter actualités de 19H15 du 15 mai 1962
Inter actualités de 19H15 - 15/05/1962 - 32min47s 64 vues
***************************************************************************************************************************************************************
Que pouvez t-il se passer aprés le 19 mars 1962,? avec les révélations faites a un tribunal, au Procés du Général Salan 2 mois a peine aprés le 19 mars
Copie de la déposition de M Renucci, à l’audience du 21mai 1962 au Procès du Général Salan.
M Renucci Général de division de réserve, député qui représentait les Aurés à l’Assemblée nationale
"c’est ainsi qu’on a pu recruter, toujours sous les ordres du général Salan, cette Harka qui a eu l’honneur, il y a deux ans, de défiler au 14 juillet à Paris, la seule Harka qui n’a pas eu de déserteurs et qui a, à son tableau de chasse, car c’est un commando de chasse, sept fois son effectif en tués chez les fellaghas".
************************************************************************************************************************************
Dépêche A.F.P. du 23 mai 1962 du ROCHER NOIR publiée par La Charente Libre
( Vidéo visible sur Internet en 2010 sans le son, sur le site de l’I.N.A Force locale)
INA FORCE LOCALE economie-et-societe
(Copie du texte) - L'Algérie indépendante coopérant avec la France, grâce a la volonté et a la détermination de tous les algériens dignes de ce nom, naîtra dans 38 jours et vivra. a déclaré M. Farés en conclusion de l'allocution qu'il a prononcée ce matin à Koléa a l'issue d'une prise d'armes d'une unité de la force locale
- Dans allocution qu'il adressa aux officiers, sous-officiers, et soldats le président de l’exécutif provisoire à déclaré...des accords signés à Evian au nom du peuple Français par le gouvernement Français et au nom du peuple algérien par le gouvernement provisoire de la République Algérienne constituent les bases nouvelles des rapports entre les deux pays. Nous avons tous, a dit M Farés l’impérieuse mission de réaliser l’étape de transition qui nous conduira à partir du 1er juillet à la constitution d'une Algérie libre, souveraine et indépendante coopérant avec la France. Le rôle qui nous est assigné, avec toute l'autorité conférée par le gouvernement Français et le GPRA à l’Exécutif provisoire Algérien est d'une importance historique
*************************************************************************************************************************************
Le 5 juin 1962 de Tkout, Aurés, l'unité UFL 434 arrivait a Guyotville Alger, par la route, en convois d'une vingtaine de camions, et se faisait accueillir par la population rassemblée sur le bord des routes, pour s'installer dans l'ancien Centre de moniteurs de la jeunesse Algérienne qui avait été plastiqué par l'OAS
Arrivant des Aurès, en traversant les villes, Quel fabuleux souvenir encore !
Dans les camions en convois avec les musulmans de l’unité 434, de la force locale*,
D’être acclamés en triomphateur ! Par toutes les populations locales.
Je cherche toujours un article et des photos de cet accueil chaleureux.!
Pour cela, jusqu’à maintenant, a ce jour je n’ai pas été chanceux !
Si, de notre arrivée, toute la population avait été avertie !
La presse et la radio, l’avait bien été aussi ?
****************************************************************************************************************************************
Inter actualités de 19H15 du 5 juin 1962
Inter actualités de 19H15 - 05/06/1962 - 29min05s 39 vues
*********************************************************************************************************************************************
A écouter attentivement " Inter actualités de 19H15 du 7 juin 1962"
**********************************************************************************************************************************************************************************
Incendie à la faculté d'Alger
JT 20H - 08/06/1962 - 04min37s 680 vues
*****************************************************************************************************************************************************************************************
Quelques lignes encore de mon livre
Mission spéciale en diplomate pour Yvon Lemarginal pour la Pentecôte
Le 10 juin 1962 à l’infirmerie du cantonnement de le 434, à Guyotville le capitaine G…. commandant la compagnie, vient trouver Yvon qui était avec Jacques C……. l’infirmier qui logeaient ensemble dans la même pièce. Ils couchaient dans la même salle, avec le Sergent G….., responsable de l’armement pour surveiller le râtelier d’armes. Il leur confit la mission d’aller a l’infirmeriee de la ville, pour leur faire une offre de médicaments, que la compagnie pouvait se procurer où avait en surplus. Yvon avait emprunté le ceinturon et le P.A du Capitaine comme armement, qui lui allait à merveille. Pour la tenue de Yvont, cela faisait mieux que le P.M. Mais, s’il avait fallut qu’il s’en serve cela aurait été laborieux sans doute.
En ce jour de Pentecôte, Yvon et son camarade prenaient donc la direction de la ville ou été installé une infirmerie, au pied d’un H.L.M de la citée. A cette occasion Yvon et son camarade avaient enfilé le brassard, de la croix rouge des armées dans le bras
A leur arrivée, ils furent reçu en « diplomate », par un détachement de l’ALN armait, et qui leur firent une haie d’honneur. Et c’est avec une grande émotion qu’ils firent une dizaine de pas, pour rejoindre l’entrée d’un bâtiment d’un H.L.M.
Ce détachement était en possession, d’armes automatiques éblouissantes qui brillaient, que Yvon Lemarginal, aurait aimé posséder de son côté, pendant la guerre. Au regard des vieux Mas 36 et les P.M. que nous avions a notre disposition, pour faire la guerre et ensuite, car nous les avions « récupérés » en force locale.
*************************************
Le 10 juin 1962 j’ai toujours encore en ….mémorisation
Avec l’infirmier d’avoir été mis à contribution
Brassard de la croix rouge des armées aux bras, sur recommandation
Visite à l’infirmerie de l’ALN,* où, ce fut….. L’improvisation
ALN (armé de libération nationale algérienne)
Devant une garde richement armée, qui à l’entrée, était de faction
Avec des responsables de l’ALN autour d’une table on nous fit asseoir,
Dans la pièce d’à côté, était installée une infirmerie provisoire -,
Autour de nous, nous étions surveillé par une dizaine d’hommes toujours bien armés
Après quelques discussions, nous avions eu droit, à une tasse de café
Qui nous a été servi par….. Deux infirmières et j’étais un peu troublé
Comme, elles, …. Les événements… récents et anciens, furent aussi évoqués
Ce 10 juin 1962 jour de la Pentecôte, à Guyotville ils nous revenaient en mémoire,
De chaque côté, tout ce que nous avions dû endurer de déboires
Ces infirmières au bord des larmes par moment
Dans mes yeux, resteront gravés éternellement
De notre visite diplomatique, il nous restera que l'honneur
D’avoir été de notre nation, un ambassadeur avant " l'heure"
*********************************************
- Une demande pour recherche, ( et - pour retrouvailles ) a été faite -
a la -- Fondation de la Willaya IV - a Alger - par Mail, ......... sans réponse a ce jour...? Pour remerciements
*******************************************************************************************************************************************************************************************
Inter actualités de 19H15 du 11 juin 1962
www.ina.fr/audio/.../inter-actualites-de-12h30-du-15-juin-1962.fr.ht
Inter actualités de 12H30 du 15 juin 1962 7 premieres minutes a écouter
(depuis septembre dernier (1961) 76 membres des forces de l'ordre ont été tués par l'OAS dont 14 officiers et 300 autres blésses)
Sur ces 300 blessés, certains sont bien décédés aprés le (19 mars 1962, jour du cessez le feu en Algérie)
37 personnes seulement ont réécouter cette émission- vidéo- a la date du 28 juillet 2012
Inter actualités de 19H15 du 16 juin 1962 de la 9ème a la 14ème mn
Inter actualités de 19H15 du 17 juin 1962
Inter actualités de 19H15 du 23 juin 1962 en ce qui concerne Oran
http://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&frm=1&source=web&cd=2&ved=0CFYQFjAB&url=http%3A%2F%2Fwww.ldh-toulon.net%2Fspip.php%3Farticle5038&ei=6FgNUOHRLamr0QWe57TRCg&usg=AFQjCNGOGmdrZ-prMtpUSDmJ2HbUWNcXhQ
il ne s’est “rien” passé le 24 juin 1962
article de la rubrique les deux rives de la Méditerranée > témoignages
date de publication : samedi 23 juin 2012
Inter actualités de 19H15 du 24 juin 1962 Oran et Campagne pour l'élection
Inter actualités de 19H15 du 30 juin 1962
**********************************************************************************************************************************
http://www.ina.fr/histoire-et-conflits/decolonisation/video/CAF97505622/algerie-1er-juillet-1962-chevallier.fr.html
***********************************************************************************************************************************
Reportage de France Bleu Poitou du 29/06/2012 "Cinquante ans aprés"
Ouverture du journal d’information de 8h de Radio France Bleu Poitou du 5 juillet 2012
« Il y 50 ans, un poitevin vivait l’indépendance de Algérie son nom, Yvon Priou, Il témoigne dans ce journal »
« Il y a cinquante ans l’Algérie célébré son indépendance, un événement vécu par un poitevin Yvon Priou 71 ans. A l’époque cet habitant de Vouneuil sous Biard est soldat dans l’armée Française, au cessez le feu, il va participer à la pacification du pays, une pacification marquée toutefois par la mort de plusieurs de ces camarades
Aujourd’hui, il demande la reconnaissance de tous ces soldats tombés à cette période »
Y P.. « Comme on n’en a pas parlé, jusqu’à maintenant de ces morts après le cessez le feu, des morts de militaires qui étaient en mission pour la France, (dans les forces locales Algériennes) enfin, pour la pacification, j’ai des copains malheureusement, un de la Vienne encore de Saint Martin la Rivière qui est décédé disparu ( dans une unité de la force locale algérienne) dont on n’ a pas retrouver le corps, et, on a jamais parlé, jamais parlé et disons que moi, moi , c’est surtout pour ces morts- là, que, surtout moi, de la commune de Vouneuil sous Biard ou je suis né, mes quatre camarades d’école sont morts en Algérie, dont un qui a disparu et dont on n’a jamais retrouvé de trace »
Aujourd’hui vous voudriez quoi ? Une reconnaissance ?
Y P.. « Une reconnaissance un peu spéciale quand même, parce que disons, que nos morts qui sont morts dans l’armée Française, pendant la guerre, mais ça c’était la guerre, mais morts après, en étant missionner par la France,( dans la force locale Algérienne) pour aider à la pacification, là, je trouve que c’est un peu gros quand même»
Commentaire: Il est étonnant que je n'ai pas pronnoncer les mots(force locale algérienne)dans le reportage enregistré.C'est pourquoi sur ce site, en copiant le texte entendu a la radio, j'ai rajouté les mots occultés en les barrant
Car pourquoi, je n'en aurait pas parlé ? - Avec ce site qui ne parle que de la Force Locale Algérienne ?
********************************************************************************************************************************************
Journal EL Watan le 05.07.2012
Thématiques 50e anniversaire de l’indépendance de l’Algérie
ommandant Azzedine. Dernier survivant de l'état-major de l'ALN
«Le suicide collectif des Européens a été organisé par l’OAS et non pas par le FLN ou l’ALN » le 05.07.12 | 10h00
****************************************************************************************************************************************
Comment l'Algérie a vécu la première semaine d'indépendance
Les Actualités Françaises - 11/07/1962 - 03min37s 2426 vues "" Nous y étions""
*************************************************************************************************************************************************************
Arrivé de Ben Bella a Oran
JT 20H - 14/07/1962 - 01min16s 1307 vues
Suite Rushes : interview Ben Bella a Oran
Cinq colonnes à la une - 01/07/1962 - 15min10s 31097 vues
ATTENTION : rushes de CINQ COLONNES A LA UNE, sans origine, ni date. ITW Ahmed BEN BELLA après son arrivée à ORAN, en juillet 1962
***************************************************************************************************************************************************************************************
Le 19 juillet 1962 j'écrivais << De nouvelles UFO viennent de désertés ,elles étaient attachés au 4ème BCP, mais les militaires européens étaient de retour parmi nous depuis queques jours>> .
Le 21 juillet 1962 j'écrivais aussi d'EL Biar--Aujourd'hui, nous avons habillés 50 (bleus) venant du 7ème BCA
***********************************************************************************************************************************************************************
Voir et écouter le document sur Ben Bella Le 27 juillet 1962
http://www.ina.fr/histoire-et-conflits/decolonisation/video/CAF89039194/interview-de-monsieur-ben-bella.fr.html
Grace a notre ami Jean -Voir aussi
http://www.ina.fr/histoire-et-conflits/decolonisation/video/CAF89039279/interview-de-monsieur-khider.fr.html
Inter actualités de 19H15 du 31 juillet 1962
Inter actualités de 19H15 - 31/07/1962 - voir 2ème minute ou, on parle de militaires- disparus - retrouvés- libérés - sauf cinq 24 vues
Vidéo Ina - Inter actualités de 12H30 du 19 août 1962, vidéo Inter ...
www.ina.fr/audio/.../inter-actualites-de-12h30-du-19-aout-1962.fr.ht...
LES TITRES - MICHEL HONORIN PARLE DES CHEFS DE L'OAS, DE LEURS VOYAGES, DE LEUR ACTION ; ACTION DE L'OAS EN METROPOLE. - (A 4'15") ...
fr.wikipedia.org/wiki/Organisation_armée_secrète
*********************************************************************************************************************************************
Hier, 12septembre 2012 l'équipe de France a remporté son match de footbal de l'éliminatoire de la coupe du Monde
En Algérie il y a cinquante ans, avait eu lieu, le premier match officiel de l'équipe de footbal de l’Algérie dans sa capitale le 12 septembre 1962
Dans le journal régional N.R Georges QUÉRIN écrivait, le Samedi 6 et Dimanche 7 octobre 2001
(Copie) Une équipe du FLN
Le 13 avril 1958, dix joueurs professionnels de footbal algériens évoluant dans le championnat d’Élite français quittaient l’Hexagone pour Tunis. Ils allaient former l’ossature de l’équipe du FLN (Front de libération nationale) en exil à Tunis.
L’affaire fit grand bruit à l’époque. Parmi « les déserteurs », Mustapha Zitouni, parti de Monaco, était un défenseur central titulaire de l’équipe de France qui jouait le mercredi suivant contre la Suisse. Rachid Mekhloufi et Maouche figuraient parmi les joueurs susceptibles de participer à la coupe du monde en Suède. Rouai avait abandonné Angers.
La France sportive subissait l’affront de plein fouet.
L’Algérie se forgeait une identité avec une équipe non affiliée à la Fédération internationale (FIFA). Très vite, en novembre, sa sélection rassemblait trente-deux pros
On retrouvait le Niortais Zouba, le Lensois Ahmed Oudjani (qui avait débuté à Vendôme), les Angevins Benzefra, Defnoun et Benfadah.
Elle remporta son premier match (6-1) contre une sélection tunisienne. Elle battit sur le même score la Yougoslavie. En quatre années de tournées et de rencontres amicales, elle aligna 65 victoires, 13 nuls et 13 défaites.
Jusqu’au 12 septembre 1962 et le premier match officiel de l’Algérie dans sa capitale et sa victoire sur le voisin marocain (3-1).
L’histoire du football algérien débuté par une drôle... d’histoire.
Depuis, Zitouni est revenu s’installer à Nice où il a appris que ses compatriotes ne s’étaient, pas qualifiés pour la prochaine Coupe du monde. Ses collègues de l’époque sont pour la plupart restés dans leur pays où la situation politique de ces dernières années n’a surtout pas favorisé le développement du sport de haut niveau.
Georges QUÉRIN. Samedi 6 et Dimanche 7 octobre 2001
Une émission sur ce sujet a été diffusé à la télévision sur la 5 en 2003 « Le 11 du F.L.N »
« une émission a voir et revoir absolument ! » pour savoir qu'un joueur Algérien n'ayant pas put rejoindre les autres fut pris a la frontière Française, et, resta en prison pendant que ces camarades jouaient au Foot dans une dizaine de Pays etrangers, en attendant le cessez le Feu
"Histoire de l'equipe nationale d'Algerie" sur You Tube
A voir aussi ; Équipe du FLN de football - Wikipédia
**********************************************************************************************************************************************
Inter actualités de 19H15 du 26 septembre 1962
L'auteur de ces lignes qui était allez se baigner a Sidi Ferruch dans l'aprés midi du 25 septembre 1962, ne se rappeler plus des informations de jean Pierre Elkabbach corespondant d'Algérie (18ème minute) de ce 26 septembre
Ce jour là ,26 septembre 1962, par Maison-Carrée, Alger-Centre, Saint-Eugène, nous avions fait plus de 100 km, et nous n'avions pas accompli la mission qui nous avez été confiée. Rien que pour la matinée, on aurait put ramener, au moins 20 procès-verbaux mérités, vu les effractions au code de la route commissent dans la confusion d'une circulation trés pertubée. Mais nous ramenions toujours les camions au garage, sans aucunes égratignures, ce qui était déjà très bien. ( Merci Jabouille)
J'avais appris et je connaissez toutes les rues d'Alger, mieux que ma ville de Poitiers en ce moment. Car ils nous arrivaient, comme ce 26 septembre, que pour simplement finir de monter une étagère au magasin d’habillement, que nous avions installé sous la Caserne des Aviateurs Arnaud de Vitrolles, ils nous fallaient la journée entière en ville, pour acheter des vis ou un écrou qui nous manqués et encore, sans achats effectués ayant oublier les dimensions exactes du modèle
Ces "exploits" seront les derniers souvenirs d'Algérie de " l'Ancien " qu'il écrira sur cette page, la libération proche occupant principalement sa pensée
Date de dernière mise à jour : 24/12/2021
Commentaires (3)
1. Nançoz-Romestant Yvette 25/12/2012
Bonjour monsieur, Seule pour les fêtes, vous venez de m'offrir un superbe cadeau de Noël à lire votre site (que je viens de découvrir), tout l'après-midi, écouter plusieurs journaux télévisés de l'époque, découvrir les blogs que vous mentionnez etc. Soyez-en grandement remercié.
Mon frère a fait 5 années de guerre dans la ZNA (sept. 57 à fin décembre 62) dans le 117e RI. Je possède 240 lettres écrites à nos parents durant cette période. J'ignorais totalement qu'il y avait eu des appelés après le 19 mars 62. Quel mic-mac ! Et perdre la vie à ce moment-là ! Vortre témoignage, vos lettres aux autorités sont de la plus haute importance. Je dois être franche avec vous : je ne suis pas de votre avis sur la date de la commémoration des soldats morts en Algérie : c'est comme si on fêtait la défaite de Waterloo. Voilà. Sinon, l'énorme travail que vous avez fourni mérite que l'on vous tire le chapeau et bien bas. Je vous adresse mes voeux les meilleurs pour vous et les vôtres. Yvette Nançoz
2. Priou yvon (site web) 05/06/2012
Le 5 juin 1962 ! Sur cette terre d’Algérie, sur la route d’ Alger-Guyotville !
Arrivant des Aurès, Quel fabuleux souvenir encore ! En traversant les villes !
Dans les camions en convois avec les musulmans de l’unité 434, de la force locale*,
D’être acclamés en triomphateur ! Par toutes les populations locales.
Je cherche toujours des photos de cet accueil chaleureux
Pour cela, jusqu’à maintenant, a ce jour je n’ai pas été chanceux
Si, de notre arrivée, toute la population avait été avertie
La presse et la radio, l’avait bien été aussi ?
5 juin 2012
3. epinat. (site web) 19/04/2012
Bravo cela relate bien cette fin de GUERRE, j'ai quitté l'armée le 1 mai 1962 pour regagner le France, ma femme et ma fille. après 24 mois dans le bled en montagne, il faut garder des écrits de gars qui étaient là bas en cette période.