Recherches de camarades FSE des forces locales

Anciens membres militaires FSE de la Force Locale en Algérie en 1962

Bonne Lecture,  et, Merci, de me dire par un petit mot en fin de page, si vous avez  appris des choses sur cette période de Guerre d'Algérie, en lisant celle-ci

lien -- http://www.ina.fr/audio/PHD94017840   sur passation de pouvoirs de la Force Locale 21/04/1962

Audio a écouter de la 8 minute a la 11 minute, ce qu'on peut voir sur www.ina.fr/video/CAF90002960

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Bonjour où Bonsoir les Anciens Combattants d'Algérie, encore de ce monde 

Nous recherchons  des "anciens" qui voudraient témoigner -  parmi les 3000 ou 4000  Anciens militaires du contingent Français de Souche Européenne, ( FSE) qui ont été mutés sans leur demander leurs avis, dans la force locale de l'ordre algérienne après le 19 mars 1962 en Algérie.

Car, combien sommes-nous de survivants après 50 ans ?

Avant qu'il ne soit trop tard, afin de conjurer le traumatisme que nous avons subi et qui est ignoré de tous, libérons notre parole !

IL n'est jamais trop tard pour témoigner - Merci a l'Ancien de la 425 UFL-UFO qui vient de témoigner par Mail le 11/01/2016

 Nous recherchons la liste et le nombre de tous les militaires Français  européens,  membres encadrant  les 114 unités des forces locales algériennes   du 19 mars au 1er juillet 1962 qui doivent être dans des archives.

             « Car  ils fallaient bien que l’Algérie et la France se mettent d’accord  sur leurs nombres et leurs  choix»

« La liste des membres de la 434 U.F.L a bien figurée dans le bureau du « Major » Joly. On peut apercevoir celle-ci sur une photo de notre camarade Raymond (78) né dans le 86, qui était de service dans le bureau de l'unité »

A la date du 11/11/2015 - sur Internet, ci-dessous un article officiel capturé sur des cadres d'une la force locale. Laquelle ?

Liberation de 4 militaires

Capture pour le

 

 

 

 

 

Capture por le sijpg

 

 

 

 

 

 

Nous aimerions avoir des renseignements de ces quatres cadres européens militaires de la Force locale, qui avaient été enlevés en Willaya IV pour connaitre les conditions de leurs enlévements et de leurs restitutions ?

Avnt et aprs

 

 

Ci-dessus l'adresse d' un  militaire chauffeur qui fut désigné cadre européen militaire de la force locale

Ci-dessous le même militaire chauffeur de l'Unité  470 UFO dont le courrier ne passait plus au SP 86752

Avant et apres

 

 

 

Merci de témoigner,  en ajoutant un petit  commentaire, en bas de la page

Nous acceptons de même avec reconnaissance, les témoignages de nos camarades musulmans Algériens embarqués dans cette galère  force locale

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Il est a noter que sous les ordres de leurs supérieurs 

 (Corps d’Armée, Chef de Zone et chef de Bataillon)

456 Officiers FSE de l'armée Française qui ont encadraient ces unités se sont bien gardés de ne pas raconter,  et, .. n'ont pas "raconter"

-   leurs histoires  et ..... notre histoire dans la Force Locale 

- du cessez le Feu  du 19 Mars 1962     à l'indépendance de l'Algérie

Ceux-ci s'étant permis "d'enrôler" 798 sous-officiers F.S.E dans cette Force Locale Algérienne sous leurs ordres. 

Cette force locale qui devait être aux ordres de l'Exécutif Provisoire Algérien. Mais qui fut….. aussi sous les ordres de l’ALN l’armée adverse, notre ennemie de la veille 

-  du 15 Avril 1962 à l'indépendance de l'Algérie

"Merci aux sous-officiers, officiers et officiers supérieurs qui m'envoient leurs témoignages maintenant"   sur cette période Yvon Priou

Mais je ne remercie pas les signataires du manifeste, qu'on peut lire sur un site Internet 

 le Manifeste des 521 officiers généraux ayant servi en Algérie. 

  " Officiers ayant servi en Algérie de 1954 à 1962, en notre nom et au nom de tous les hommes que nous avons commandés, morts et vivants, nous voulons apporter notre témoignage sur le rôle de l'armée à cette époque. Cela dans le double but de dépassionner les débats et de rétablir la vérité historique, masquée aussi bien par les provocations que par leurs exploitations médiatiques". 

Aprés avoir lu cet article  de 2002 sur le web, et avoir constater, que,  pas un mot ne figure sur le rôle de l'Armée, pendant la période transitoire et de la force locale de l'ordre Algérienne après le 19 mars 1962,  je me permets de vous signaler, qu'une longue liste de signataires arrêtée au lundi 18 mars 2002 y est inscrite.

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Nous recherchons des témoignages sur - 2 Officiers-supérieur qui assuraient le maintien de l'ordre  a Oran (donc ils étaient de la Force locale ? Mariot  Lieutenant Colonel et Ginestet  Général DCD morts pour la France, assassinés  par l'OAS ) DCD  le 13 juin1962 et le 26 juin1962 des suites de blessures. 

Ceux-ci, n'ayant pas pu témoigner ?
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  Voir ou écouter plutôt sur- INA Force locale   - Inter actualités de 19H30 du 21 avril 1962  ou le Haut Commissaire en Algérie- . MR CHRISTIAN FOUCHET A REMIS LE COMMANDEMENT DE LA FORCE LOCALE, A MESSIEURS FARES ET AU PREFET Mokdad  QUI EN EST LE DIRECTEUR (1'45").    Inter actualités de 19H30 - 21/04/1962 - 27min46s,                                                              

Il aurait dut  y avoir une dizaine d’hommes de troupe, par unité (intendance)    "17" étaient prévus

....Mais combien étions nous ?    "Nous avons été  18 a la 434ème  UFL - UFO" pendant ces "Cent Jours"

Merci de vous faire connaitre, ( ou simplement d'afficher le nombre qu'il y avait dans de votre unité) par un petit commentaire en bas de page 

Merci de nous dire aussi, si certains ne sont pas revenus ?

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 Recherche la liste des 387 noms  de militaires disparus avant le 19 Mars 1962 (dont on ne parles plus maintenant ) que  -  j'ai vu le 14 décembre 2007, sur l’écran de ma télévision, France V «Disparus  en mission» 

47 ans après sa disparition,  le nom de mon ancien camarade d’école  de Vouneuil sous Biard  fait prisonnier le 22 juin 1960 en Algérie, figurait avec le numéro 133 sur une liste de disparus comportant pas moins de 387 noms.

Le devoir d'une Nation c'est de protéger tous ses citoyens,

L'honneur d'une Armée c'est de récupérer tous ses soldats

Et d'avoir une reconnaissance pour ceux qui furent fait prisonniers pendant cette période de 1954-1962 et  en particuliers ceux qui furent fait prisonniers le 11 janvier 1958, qui furent libérés par Le FLN en Tunisie  en Décembre 1958 dont, des photos de ceux-ci (ci-dessous) viennent  de mettre transmises par la famille de leurs géoliers, le 4 novembre 2016.Les quatres prisonniers

Prisonniers du fln

Prisonniers

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Grace - a Internet  2013  ( Liste ROSSO/Mora NJ. )  j'ai retrouvé cette liste ?   (voir autre page sur le site)

 - au livre de J Y Jaffrés 2012  "Militaires Français Prisonniers du FLN ou Disparus en Algérie 1954 1962.

J'ai retrouvé ...  Combien il y a eu de prisonniers du FLN  de  recensés par J Y Jaffrés ?

a- Prisonniers militaires revenus :                               149

b- Prisonniers militaires disparus :                              489

c- Prisonniers militaires dont le corps a été retrouvé :           55

AUTRES Trouvés avec les militaires des enseignants, personnes d’un service de santé; civils ou militaires? Quelques civils et des policiers. 95

 

Total........................................................     ..788 prisonniers ici recensés par JY Jaffrés

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 Il y a eu des militaires prisonniers qui ont été libérés d'un camp FLN d'Oujda du Maroc

Mais -   Que sont devenus les militaires Français métropolitains qui étaient prisonniers du FLN, et qui étaient encore vivants ?  le 19 février 1962  au camp de Oujda au Maroc?

Car  le 19 février 1962. L'O.A.S. utilise deux avions T28, français basés à la Senia prés d'Oran, pour bombarder le cantonnement F.L.N. d'Oujda au Maroc

Voici comment Jouhaud raconte une action de l'O.A.S. :  Nous savions que des négociations avaient lieu, mais ignorions si un accord interviendrait. Cet accord éventuel, il fallait le rendre inopérant en montrant au F .L.N .que la France était incapable de faire respecter une décision prise contre le gré des Européens.

C'est ainsi que je décidais de faire bombarder le camp F .L.N. d'Oujda. A proximité de cette ville, sur le territoire du Maroc, ami de la France de surcroît, se trouvait stationné l'état-major de la willaya 5, au camp "Ben-Mhidi ", du nom d'un leader F.L.N. mort en détention en 1957. Ce camp abritait, non seulement le commandement fellagha qui coordonnait la lutte terroriste en Oranie, mais aussi un camp d'entraînement et un parc de ravitaillement. Sans souci de sa dignité et de sa défense, la France acceptait d'entretenir les meilleures relations avec le Maroc, de lui fournir des crédits et de tolérer en même temps le stationnement de hors-la-loi à notre frontière. Mais grande était notre naïveté, ce n'étaient plus des rebelles, mais des alliés dans la lutte contre les Français d'Algérie.

Nous ne pouvions opérer que par bombardement aérien. Je fus d'abord séduit par la proposition qui fut faite à Guillaume, par la base aéronavale de Lartigues, près d'Oran, de mettre deux bombardiers Neptune à notre disposition, donc de pouvoir déverser environ dix tonnes d'explosif sur le repaire F.L.N. Je donnai mon accord à Guillaume, qui fut chargé de régler les détails de l'opération. Malheureusement son étude révéla des difficultés, en particulier la récupération d'équipages trop nombreux. Et, de surcroît, l'officier responsable du vol venait de se rendre suspect à la Sécurité navale.

Je me retournais vers l'armée de l'Air. Sur la base de La Sénia, existait un centre opérationnel de réservistes, engagé normalement, et avec beaucoup d'efficacité, contre les rebelles depuis sa création.

Composé d'officiers et de sous-officiers de réserve, ce centre effectuait des missions de combat, comme toute unité opérationnelle. Il était armé d'avions T 6, à la puissance de feu réduite, mitrailleuses et roquettes, mais non négligeable. Le personnel accepta la mission avec enthousiasme et il fallut tirer au sort les deux équipages qui auraient à opérer . Le raid fut prévu pour le dimanche 18 février. Au matin, le sous-lieutenant Hoerner et le sergent Raucoules décollaient de La Sénia, pour une mission de routine. Ils mettaient le cap sur le camp qu'ils survolaient et attaquaient à onze heures, aux roquettes Tl et à la mitrailleuse, avec plein succès. A une certaine distance de là, un dépôt important de munitions aurait pu sauter.

C'est ce que nous fit savoir, par la suite, notre capitaine Clément qui avait omis de nous donner l'objectif principal. Ainsi Clément nous avait renseigné, mais très incomplètement. Revenant en rase-mottes, nos deux aviateurs se posèrent au terrain de Nazreg, à dix kilomètres de Saïda où les attendait le commandant Guillaume qui, avec son sang-froid habituel, les ramena à Oran, bénéficiant du reste du concours de l'O.A.S. de Saïda. Et le lendemain, nous sablions le champagne avec ces deux hommes courageux et quelques officiers du C.E.R. La joie était dans l'air, car l'exploit était extraordinaire. Parfaitement exécuté, il montrait que l'O.A.S. était capable de mener toute action et, ce jour-là, l'organisation dite "subversive" remplaça les forces aériennes loyalistes, clouées au sol sur ordre. Hoerner et Raucoules sont deux noms qui ne seront jamais oubliés dans le combat que nous menions et, si le sort les favorisa en les désignant, ils ne marquèrent aucune hésitation, au dernier moment, pour accomplir leur retentissante prouesse. Le raid eut un écho profond dans la population européenne et musulmane, surtout chez cette dernière. L'"Ouasse" montrait sa force, sa détermination, son courage, son audace et aucun Musulman n'est insensible à ces qualités fondamentales.

Je prenais la parole à la T.V. pour exalter les qualités morales de mes deux aviateurs et assurer mes camarades de mon affectueuse reconnaissance.

 Copié dans Ô mon pays perdu, Fayard 1969 ISBN 35-05-5094-01

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On ne fait que de dire,  d’écrire, et de parler maintenant des disparus aprés le 19 mars 1962 (militaires et civils) que rien n'a été fait pour les harkis!….. et…. pourtant...?

Source : Conseil  Economique et Social

Loi du 26 / 12 / 1961 - Texte fondateur pour tenter de résoudre les difficultés des rapatriés et des harkis
Décret  61 / 281 du 30 Mars 1961 relatif aux services accomplis dans les formations supplétives en Algérie et dans les départements des Oasis et des Saoura
Décret 61 / 1196 du 31 octobre 1961 édictant les dispositions en faveur des personnels servant dans les harkas en Algérie
Décret 61 /1201 du 6 novembre 1961 portant réglementation applicable aux personnels des harkas en Algérie
Décret 62/ 318 du 20 Mars 1962 fixant les dispositions applicables aux personnels servant dans les harkas en Algérie

Entre - la loi du 26 décembre 1961 et une des dernières

 - la loi « Mekachera » du 23 février 2005 il a été dénombré,
21 lois par le Conseil Economique et Social saisi par le Premier ministre par lettre du 30 juillet 2007
Selon la même source : Conseil Economique et Social  « 45000 harkis où autres français d’origine algérienne, ont transité par des centres d’appel d’urgence »

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Armand Bénésis de Rotrou

Au commando " Georges " de Saïda, les 250 anciens fellouzes ont de quoi s' inquiéter, et l' un d'eux, le 6 août 1961, déclare ceci à monsieur Messmer, ministre de la Défense, en visite en Algérie: " Avec vous tant que vous combattez le FLN, peut-être contre vous si vous nous trahissez. "

Entre-temps, en dépit des ordres écrits que j' ai reçus, je n' ai pas désarmé mes harkis qui étaient voués au massacre, et qui, non sans difficultés, pourront être rapatriés clandestinement en France, avec leurs familles.

Enfin, en mars 1962 à Évian, au titre d' " accords " qui n' en auront que le nom, la France s' engage à livrer l' Algérie et le Sahara au GPRA, décision qui sera accompagnée d' une nouvelle libération de 8 000 fellagas.

Ces " accords " reposaient sur deux piliers:
? 1er pilier: du cessez-le-feu à l' indépendance, la gouvernance du pays et la conduite du maintien de l' ordre par un Exécutif provisoire, mis en place à Rocher-Noir, près d' Alger.
? 2e pilier: la transmission du pouvoir au GPRA. le 2 juillet 1962, date arrêtée pour le jour de l' indépendance.

Pour ce qui est de l' Exécutif provisoire, cet organisme devait disposer, dans l' exercice de ses attributions, de trois organes principaux:
? De la police algérienne.
? D' une Force locale de 40 000 hommes à base de cadres français et d' appelés autochtones sous les drapeaux.
? Etenfin d' un corps de police de plusieurs milliersd' ATO (auxiliaires temporaires occasionnels).

 Armand Bénésis de Rotrou
Sous-lieutenant à la fin de la même année, il est nommé lieutenant fin 1958. En août 1959, désigné sur sa demande officier adjoint au commando musulman de Saïda, le prestigieux commando « Georges » créé par le colonel Bigeard, le lieutenant « Armand » (son nom de guerre à Saïda) y reste plus de deux ans au bout desquels, en raison de sa participation sur ordre de son supérieur à l’O.A.S., il est, pour échapper à l’arrestation, muté précipitamment dans le Constantinois, à la tête d’une compagnie de combat isolée et d’une unité de harkis qu’il sauvera du massacre en contrevenant aux ordres reçus.

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 Copie extraite du livre  du   Genéral  Robert Gaget     Commando Georges   Renseignements et combats  Editions Grancher mai 2000  Général Georges Grillot    Capitaine en Algérie                                 

              Il est dommage que l’on ne puisse pas faire l’appel, et les témoignages manquent pour y suppléer Il y a sans doute eu moins de morts que l’on dit ; le F.L.N ayant surtout fait payer les chefs et les « traîtres »       

         - Quoi  qu’il en soit il n’est pas question de rejeter toute la responsabilité sur les dirigeants du F.L.N et sur ses tueurs

 Les vrais responsables, c’est Nous !

            - Nous ! qui avons attendu le 21 mars pour offrir a nos harkis une intégration dans l’Armée Française.

             - Nous ! qui leur avons proposé une prime de « licenciement » comme de simple employés que l’on congédie pour incapacité ou difficultés économiques

Livre du Général Robert Gaget  Commandos Georges

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D'autres ne sont pas responsables, mais ?  non jamais parlé  de la période transitoire et des musulmans versés dans les 114 forces locales Algériennes .Que sont-ils devenus ?

Reportage avec France Bleu Poitou du 29/06/2012 "Cinquante ans aprés" 

Ouverture du journal  d’information de 8h de Radio  France Bleu Poitou du 5 juillet 2012 

              «  Il y 50 ans,  un poitevin vivait l’indépendance de  Algérie  son nom,   Yvon Priou, Il témoigne dans ce journal » 

                               «  Il y a cinquante ans  l’Algérie célébré son  indépendance, un événement  vécu par un poitevin   Yvon Priou  71ans.  A l’époque cet habitant de Vouneuil sous Biard  est  soldat dans l’armée Française, au cessez le feu,  il va participer à la pacification du pays,  une pacification marquée toutefois  par la mort de plusieurs de  ces camarades  

             Aujourd’hui,  il  demande   la  reconnaissance de tous ces soldats tombés  à cette période » 

Y P        «  Comme on  n’en a pas parlé, jusqu’à maintenant de ces morts  après le cessez le feu, des morts de militaires qui étaient  en mission  pour la  France, (dans les forces locales Algériennes) enfin,  pour la pacification, j’ai des copains malheureusement,  un de la Vienne encore  de Saint Martin la Rivière qui est décédé  disparu ( dans une unité de la force locale algérienne) dont on n’ a pas retrouver le corps, et, on a  jamais parlé, jamais parlé  et disons que  moi, moi , c’est surtout pour ces morts- là, que, surtout  moi,  de la commune de Vouneuil sous Biard ou je suis né, mes quatre camarades d’école sont morts en Algérie, dont un qui a disparu et dont on n’a jamais retrouvé de trace » 

Aujourd’hui vous voudriez quoi ?  Une reconnaissance ? 

Y P « Une reconnaissance  un peu spéciale quand même,  parce que  disons,  que nos morts qui sont morts dans l’armée Française, pendant la guerre, mais ça  c’était la guerre, mais morts  après,  en étant missionner par la France,( dans la force locale Algérienne) pour aider à la pacification, là, je trouve que  c’est un peu gros quand même»

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Commentaire: Il est étonnant que  je n'ai pas pronnoncer les mots (force locale algérienne) dans le reportage enregistré.C'est pourquoi sur ce site, en copiant le texte entendu a la radio, j'ai rajouté les mots occultés en les barrant                                                                                  

  Car pourquoi, n'en-je aurait pas parlé ?- Sur ce site, - je ne parle que des forces locales Algériennes ?

Force-locale-Algrienne-001.jpg

A noter en 2007 ; - que je n'avais pas pronnoncé le "mot indigénes, mais musulmans, et aussi, - la fin de la phrase ci-jointe avait été supprimée "Mais se pose aussi la question du statut des soldats, quelques milliers, sont restés durant la période transitoire dans la force locale de l'ordre Algérienne

 Extrait du message reçu de l'historien Guy Pervillé le  23 mars 2013". " j'ai eu tort de ne pas parler des soldats du contingent français qui ont été affectés dans les unités( Unités de la Force locale Algérienne)et qui ont eu le sentiment  d'y être des sortes d'otages. A ma décharge, je dois dire que ce sujet à fait l'objet d'une véritable conspiration du silence

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Qu'a-t-il était fait pour les militaires  FSE  du contingent, qui avaient mutés dans les  Unités de la Force Locale algérienne  en 1962 ? 

On n'a même pas rechercher les corps de nos camarades morts et disparus dans les forces locales de l'ordre Algérienne, comme il aurait fallu..!

Pour eux, pour nous, nous attendons une reconnaissance..! voir réponse du ministère  en 2012 sur les autres pages de site

Pour la mission spéciale qui nous avez été confié par notre Nation, la France  en 1962 ..! 

  Nous les militaires  FSE….mutés et oubliés ensuite dans la Force locale de l'Ordre Algérienne, en 1962 en Algérie, pendant la période transitoire 

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Ci-joint; extrait des courriers envoyés a sa famille, pour communiquer sa nouvelle adresse   " Chauffeur Moreau Albert   470 UFO Reibell dep Médéa AFN"   de notre Camarade Moreau Albert Mort pour la France en Algérie le 2 juillet 1962 dans la 470ème unité des forces locales de l'ordre  Algériennes

courrier-moreau.png

courrier-470-ufo.png

 

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1juillet 1962

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Recherche aussi Vidéos - photos - ou, article comme celui ci-dessous de début  juillet 1962

 - Sur l’arrivée des troupes de la Force de l’Ordre Locale Algérienne  dans l’Algérois le 5 juin1962, où l’important convoi militaire de cette unité 434, se frayait un chemin au milieu d’une énorme foule algéroise, qui avait accourue en masse  sur le bord des routes.

  - Sur la disparition des 28 militaires FSE de la force locale de Guyotville, l'article ci-dessous de la Dépêche d'Algérie du mercredi 4 juillet 1962 mentionne que les " 28 militaires sont rentrés indemnes"  

 Video Inter actualités de 19H15 du 2 juillet 1962 notice archives ...

www.ina.fr/video/PHD94018595historia.jpgMerci pour la visite de mon site      

Commentaires (3)

1. Militaire 1961-1962 07/11/2012

30 mars 1962 : Mise en place de l'exécutif provisoire, au Rocher Noir, la cité administrative fortifiée à vingt kilomètres d'Alger. Fouchet passe la main à Farés ...
Il reste fin mars 40 500 harkis, 18 000 moghzanis, 9 600 GMS, 9 000 auto défense. Le reste a été licencié. 21 000 ont demandé leur réintégration dans la vie civile, avec prime, 15 000 n'ont pas demandé la prime, 1 000 se sont engagés dans l'armée d'active (les célibataires) 2 000 ont signé un contrat civil de 6 mois (en partie dans la force locale. (Source : Boualem « Les harkis au service de la France» Editions France Empire, 1963)

2. Militaire en 1962 30/10/2012

La guerre d’Algérie Editions Librio et le Monde 2003 Diffusion France et Etranger : Flammarion
« A la tête de la préfecture de police parisienne depuis mars 1958, Maurice Papon applique à Paris les méthodes de l’armée en Algérie. Il a instauré dans les banlieues des répliques des SAS, ces unités militaires prétendument chargées de protéger les populations.
Il a installé les harkis dans la capitale. Débarqués d’Algérie, ces « volontaires » interpellent et torturent pour le compte de la police française.Anne Tristan 21/10/1991 page 83 »

3. Militaire en 1962 01/09/2012

Il y a eu des Harkis dans les unités de la force locale Algérienne

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Date de dernière mise à jour : 11/07/2023

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