Manifeste des 521 généraux 2002

Force locale 2023

 

Photo prise dans les locaux du RICM de Poitiers, lors de la visite lundi 16 octobre 2023 dans la Vienne, de Madame Patricia Miralles Secrétaire d’Etat auprès du Ministre des Armées, chargée des anciens combattants et de la mémoire

Présentation du livre   << la Force locale en Algérie 19 mars 1962- 31juillet 1962 Omar Hamourit >>

Dans la tourmente après le cessez le feu du 19 mars 1962 en Algérie, un militaire du contingent de Vouneuil sous Biard, qui avait été versé d’office par l’Armée Française, dans l’unité 434 de la force locale Algérienne * comme Militaire Français du contingent de Métropole FSE, témoigne dans ce livre avec un Militaire du contingent Algérien FSNA d’Alger - sur le parcours qu’ils ont effectué ensemble dans la 3ème compagnie opérationnelle du 4ème BCP dans les Aurès à Tifelfel Ghassira avant le 19 mars 1962 pendant la guerre et ensuite dans la force locale Algérienne a Tkout à partir du 12 avril et ensuite à Guyotville, jusqu’à l’indépendance.

*(Accords d’Evian -10 % FSE - 90 % FSNA dans les 114 unités constituées par plus de 91 régiments de l’armée Française, sur toute l’Algérie, pour cette période transitoire, avant l’indépendance)

A voir aussi, mon témoignage avec d’autres <<Le soleil qui me brulait le dos>>

 Documentaire vidéo mise en ligne sur la chaine YouTube du collège FCPIN-TV

 

"On se demande comment des officiers expérimentés et intelligents ont pu élaborer ce projet."

***************************************************

 On peut lire  sur un site Internet, le Manifeste des 521 officiers généraux ayant servi en Algérie et qui ont oublié de parler de la force locale .

" Officiers ayant servi en Algérie de 1954 à 1962, en notre nom et au nom de tous les hommes que nous avons commandés, morts et vivants, nous voulons apporter notre témoignage sur le rôle de l'armée à cette époque.

Cela dans le double but de dépassionner les débats et de rétablir la vérité historique, masquée aussi bien par les provocations que par leurs exploitations médiatiques".

 

Aprés avoir lu cet article  de 2002 sur  Internet des 521 officiers généraux et avoir constater, que

-   pas un mot ne figure -  sur la participation de l'armée française, pendant la période transitoire, pour cette période de la pacification dans la force locale, après le 19 mars 1962, alors que l'on retrouve des écrits, d'un Colonel et d'un Commandant, sur Internet, avant le 19 mars.

 

 En fait, sauf cas très particuliers, nous sommes tous, des généraux aux capitaines, contre la réalisation de cette U.F.L., qui n'est qu'un "truc"
pour nous débarrasser des musulmans du contingent, avant qu'ils ne désertent en masse :

 

Pas un mot sur le manifeste des 521, sur le rôle des officiers de notre  l'armée lors de la constitution de cette force locale de l'ordre Algérienne après ce 19 mars 1962

  Enfin si  sur le

Bulletin de l'association des officiers de réserve de bordeaux     1985

"" Un petit article de "souvenirs" paru dans le bulletin de l'association des officiers de réserve de bordeaux""                                                   

 copie)   Dans le numéro 285 en date du 15 juin 1985 du bulletin de notre associationj'avais traité des grandes lignes de ma «carrière» de réserviste, en promettant d'écrire plus tard un article sur une affectation qui m'a beaucoup marqué.

Mais voilà, vingt ans ont passé (tellement vite) et il est temps de tenir mon engagement, avant que les souvenirs ne s'effacent totalement.

Suite au cessez le feu du 19 Mars 1962, et après dissolution du 47ème B.I., je suis affecté au 51ème R.I.,PC à Grarem dans l'ouest Constantinois.

Reçu par le chef de corps (colonel Quilichini si ma mémoire est bonne), celui-ci me dit  textuellement: « je vois que vous êtes natif d' A.F.N. du Maroc, et je pense que l'affectation que je vous donne ne vous plaira pas, mais je n'ai pas le choix. Je vous envoie donc à la compagnie des forces locales qui dépend de notre régiment ».

Je devais avoir l'air encore plus ahuri que d'habitude, aussi le colonel m'expliqua rapidement les grandes lignes de ce qui m'attendait.

Les compagnies de forces locales ont été crées (après le cessez le feu) pour regrouper les personnels musulmans dans des unités spécialisées. Dirigées, à l'origine, par des cadres européens, il était prévu qu'elles soient ensuite confiées aux autorités algériennes (après l'indépendance) sans doute pour constituer l'embryon d'une armée nationale.

Je rejoins donc cette compagnie (qui possédait encore un encadrement essentiellement européen), et l'on me confie une section composée d'appelés musulmans (encore français).

Ces unités recevaient des officiers et sous-officiers musulmans (d'active ou de réserve) destinés à remplacer au fur et à mesure les cadres européens. Ainsi, l'arrivée des uns se traduisait par le départ des autres.

Ces compagnies de forces locales disposaient d'une logistique complète, y compris les véhicules nécessaires à une compagnie portée.

L'ambiance, compte tenu de l'époque et de la situation, n'était pas au beau fixe et nous vivions dans une grande incertitude. Que1 rôle jouer, pris entre le marteau et 1'enclume, dépendant encore des autorités militaires françaises, mais destinés à être absorbés par le futur état algérien?

Bien sûr, nous nous posions de nombreuses questions, espérant sortir au plus vite d'une situation ambiguë pour tout le monde, y compris pour la troupe. Car cela se passait juste avant le référendum du 4 Juillet, les soldats musulmans étant travaillés par les uns, poussés par les autres.

Pour les cadres européens, de moins en moins nombreux au fil des jours, les choses n'étaient pas simples, les inquiétudes et la méfiance régnaient de façon insidieuse. Le bruit courait que des compagnies des forces locales, sans attendre l'indépendance, étaient passées de l'autre côté après avoir liquidé les  «roumis » encore présents.

Cela n'était pas pour remonter le moral, même si nous ne le montrions pas (il faudra peut-être un jour écrire l'histoire de ces compagnies caméléon).

Pour éviter que nos troupes, poussées par des agitateurs, ne se livrent à ce genre de sport, nous changions régulièrement d'emplacement, allant d'un village à l'autre, logés dans des écoles ou autres bâtiments disponibles (le confort ne comptait pas, je vous le garantis). Nous étions de véritables forains qui ne restaient pas plus de quelques jours au même endroit.

Inutile de vous dire qu'en bon« pieds-noirs », j'étais en permanence sur le qui-vive, me méfiant de tous et de tout, je m'étais même confectionné un holster d'épaule qui me permettait de camoufler mon Mac 50 sous la veste de treillis (pour le cas ou ... ) sans montrer à mes appelés que je prenais mes précautions.

 Tous les soirs, dans leur chambrée, ces hommes, écoutaient les émissions F.L.N. sur les ondes de Radio Tunis, et se mettaient au garde à vous pendant la diffusion de l'hymne nationaliste.

Quant à moi, le soir je me barricadais dans ma chambre, armes à portée de main, car je savais qu'en cas de clash je ne pouvais compter que sur moi. Pendant cette période d'environ deux mois, j'ai connu des nuits sans sommeil, des moments difficiles, des instants plus que délicats. Que faire en effet quand un homme se conduisait mal ? Pouvait-on le punir au risque d'exciter les autres l'enfermer et où?

Que répondre à quelques cris de haine, à des mouvements de désobéissance parfois, ou au moins de mauvaise volonté ?

Nos subordonnés savaient que leur situation devait évoluer très rapidement et que nous allions partir.

Bref, il fallait jongler, composer, se «démerder» souvent seul, surtout sur la fin quand presque tout l'encadrement français avait déjà rejoint le régiment.

Heureusement que dans l'ensemble les choses se sont à peu près bien passées.Et c'est aussi à cette époque que j'ai rencontré un garçon assez extraordinaire, un jeune sous-

lieutenant de réserve musulman, dont j'ai malheureusement oublié le nom. Mais je me rappelle bien de lui.

Sous un physique enveloppé, c'était un jeune homme qui sortait du commun, comme je l'ai découvert par la suite.

Nous avions le même âge, le même grade et la même culture française (il avait fait des études supérieures). Autant que je me souvienne, il était originaire du même bled que Ferrat Abbas (Sétif) le pharmacien qui fut l'un des premiers responsables de la rébellion.

Bien entendu, nous étions d'opinions opposées, lui pour l'Algérie indépendante, moi pour l'Algérie française. Nous avions longuement et passionnément échangé nos arguments, lui qui voyait ses espoirs se réaliser, et moi les miens qui s'effondraient. Et cela en restant bon camarades (je ne l'ai pas connu assez longtemps pour dire amis).

Cet homme a fait deux choses époustouflantes (selon mon opinion). La première, le jour du référendum, il a accompagné la troupe au bureau de vote. A l'entrée, des hommes remettaient un seul bulletin, le oui, aux soldats qui allaient directement aux urnes. Lui, par contre, a exigé d'avoir les deux bulletins et de passer par l'isoloir, tout en faisant observer aux responsables de bureau de vote qu'ils se conduisaient comme des imbéciles, et que leur attitude anti-démocratique entachait les résultats.

Ce jour-là, il fallait quand même le faire. 

Quelques jours plus tard, et alors que tous les cadres européens avaient été remplacés (il ne restait plus que le capitaine et moi) la situation s'est brutalement dégradée après la reconnaissance de l'indépendance. Remontés par la population et quelques meneurs les hommes devenaient de plus en plus nerveux. Le capitaine a donc fait appel au régiment qui a envoyé des automitrailleuses plus une jeep pour nous recueillir.

Comme prévu dans les instructions, tout le matériel (véhicules, armes, radios, etc. ...) est pris en compte par le nouveau responsable de la compagnie.

Au moment de nous éloigner, sous les cris de la population et les « you-you » des femmes, l'un des cadres musulmans m'a montré ma veste de treillis et a réclamé le P.A. que je cachais sous ma veste, en me disant qu'il était à eux maintenant. Je dois dire que je n'ai pas beaucoup apprécié, mais il a fallu m'exécuter.

Mais ce qui m'a vraiment frappé au moment de partir (et pour la seconde fois) c'est ce qu'a fait mon camarade sous-lieutenant algérien.

Alors que nous allions « filer » sous les cris, au milieu d'une foule houleuse, lui, le garçon rondouillard, sans allure, est venu me donner l'accolade.

Et lorsque le capitaine et moi sommes montés dans la jeep, il s'est mis au garde à vous et nous a salués de la plus belle manière, salut que nous lui avons rendu.

Ces gestes amicaux et courageux restent à jamais gravés dans ma mémoire, et à 43 ans d'intervalle je pense à lui comme à un homme d'exception.

 Et j'espère que ses qualités morales et humaines ne lui ont pas attiré d'ennuis par la suite, au cours des évènements tragiques qui ont suivi.

Je crois sincèrement que par sa manière d'être, de penser et d'agir, il était plus français qu'algérien, même s'il refusait de l'admettre.

Voilà j'ai voulu modestement vous faire partager un souvenir lointain mais toujours présent dans mon esprit. J'espère que ces quelques aspects dévoilés sur « les forces locales » vous ont appris quelque chose et qu’ils vous ont intéressés.

 Si d'autres camarades de l'Association ont connu la même expérience difficile, j'aimerais qu'ils m'en fassent part. Commandant(H) Michel PASSICOS

Je me permets donc de mettre cette liste sur monsite, car a part quelques officiers qui ont témoigné, depuis la constitution de ce site, très peu avait  témoigné a ma connaissance avant, sur le sujet de la Force Locale Algérienne (?)

 

 

Manifeste des 521 officiers généraux ayant servi en Algérie

 

Officiers ayant servi en Algérie de 1954 à 1962, en notre nom et au nom de tous les hommes que nous avons commandés, morts et vivants, nous voulons apporter notre témoignage sur le rôle de l'armée à cette époque. Cela dans le double but de dépassionner les débats et de rétablir la vérité historique, masquée aussi bien par les provocations que par leurs exploitations médiatiques.

Nous tenons d'abord à affirmer que ce qui a caractérisé l'action de l'armée en Algérie ce fut d'abord sa lutte contre toutes les formes de torture, d'assassinat, de crimes idéologiquement voulus et méthodiquement organisés.

C'est cela la vérité et non le contraire. Le minimum de justice que l'on doit à tous les innocents massacrés, c'est de ne pas confondre l'ordre des victimes et des bourreaux.

 En moins de 25 ans, notre génération de soldats a été engagée, au cours des guerres de 39-45 et d'Indochine puis dans le conflit algérien, dans la lutte armée contre les deux plus abominables et meurtrières idéologies que l'homme ait connues: le nazisme et le marxisme.

A travers cet engagement payé du sang ou de la vie de beaucoup des nôtres, notre idéal d'officier a été de défendre la personne humaine, ses libertés, sa totale dignité, son absolue sacralité et cela d'abord chez les plus faibles et les plus démunis: les enfants, les femmes, les populations civiles, innocentes, sans armes et sans défense, cibles toujours désignées de nos adversaires.

Il a fallu l'ouverture des camps d'extermination et des goulags, les génocides du Cambodge et les boat-people, les massacres toujours actuels opérés par les terroristes algériens, ceux des maquis comme ceux au pouvoir, pour que se déchire le voile des propagandes et que se révèle à nos contemporains la malfaisance de ces idéologies.

C'est notre fierté et notre honneur de soldats d'avoir lutté contre elles; et rien n'est plus opposé à notre engagement que leurs crimes: tortures, viols, égorgements, massacres collectifs, horreurs sans nom et destructions systématiques.

En Algérie, autant que par ses opérations militaires, l'armée a caractérisé d'abord son action par un considérable et original travail de pacification, assuré directement par elle ou garanti par sa présence: enseignement dans les écoles et formation des cadres, soins et prévention des maladies, constructions et travaux publics, exercice des droits civiques et des libertés fondamentales. ..

 En Algérie, l'armée française s'est trouvée aussi confrontée à une forme de guerre radicalement nouvelle, directement issue de la pratique marxiste-léniniste. Celle-ci consiste en particulier à prendre en otage la population civile et à la mettre en première ligne. Non seulement elle ne distingue plus les combattants des civils, mais elle contraint par la terreur les civils à dissimuler, protéger, assister les combattants et à les faire adhérer à la cause de leurs bourreaux.

Face à cette menace mortelle, les autorités politiques ont confié à l'armée la charge de réduire l'adversaire et de protéger la population par tous les moyens et dans les délais les plus brefs. Sans aucune autre directive, l'armée française a mené son combat avec une totale efficacité dans l'honneur et la dignité. Certains, pendant la bataille d'Alger en particulier, ont été confrontés à un dilemme: se salir les mains en interrogeant durement de vrais coupables ou accepter la mort certaine d'innocents. S'il y eut des dérives, elles furent marginales et en contradiction même avec les méthodes voulues et les objectifs poursuivis par la France et son armée; alors que c'est au nom de leurs principes de guerre que les terroristes et même les combattants du FLN mutilaient et massacraient par l'attentat et l'assassinat femmes, enfants, population civile tant algérienne qu'européenne.

Les enjeux du débat d'aujourd'hui dépassent largement ceux d'une simple page controversée de notre histoire.

La question en effet demeure au-delà des polémiques: face au terrorisme, au chantage, aux mafias de toutes sortes, quelles armes la démocratie veut-elle employer pour défendre ses citoyens? Quelles solutions pour ne pas laisser grandir sans fin le nombre des victimes? Qu'est-ce que garantir les droits de l'homme, si c'est l'innocent désarmé qu'on laisse détruire et le coupable que l'on préserve. C'est de notre avenir qu'il s'agit. Celui-ci ne peut se construire ni en reniant l'exemple des aînés, ni en refusant les leçons de l'expérience, ni en laissant le prisme de l'idéologie déformer notre passé et donc notre jugement.

Tel est le message que nous adressons à tous nos compagnons d'armes qui à ce titre ont tous droit à notre considération et par-delà à tous nos concitoyens. La paix, la sécurité et la liberté sont des biens rares et précieux; ce sera demain comme hier le rôle de l'armée de les garantir

 

Généraux d'armée - anciens chefs d'état-major des armées (CR)

- Jean SAULNIER - Maurice SCHMITT

 Général d'armée - ancien chef d'état-major de l'armée de terre (CR) :

- Jean DELAUNAY

 Général d'armée - ancien chef d'état-major de l'armée de l'air (CR) :

- Vincent LANATA

 Amiral - ancien chef d'état-major de la marine nationale (CR) :

- Alain COATANEA

 Amiral - ancien inspecteur général de la marine nationale (CR) :

- Christian BRAC de LA PERRIERE

 Généraux d'armée - armée de terre (CR)

- Jean COT- Bernard de DINECHIN - Michel FENNEBRESQUE- François GERIN-ROZE- Michel GUIGNON - Bertrand de LA PRESLE - Philippe MORILLON - Pierre de PERCIN

 Général d'armée - gendarmerie nationale (CR) :

- Gérard CHARLOT

 Généraux d'armée - armée de l'air (CR) :

- Philippe ARCHAMBEAUD - Théodore MAHLBERG - François MERMET - Roger PESSIDOUS

 Généraux de corps d'armée - armée de terre (CR) :

Marc ANGLARD - Paul ARNAUD de FoïARD - Eugène AUDREN - Pierre AUMONIER -Georges BAFFELEUF- Guy BARASCUD - Marcel BIGEARD - Albert BILLARD - Daniel BILLOT - Alain BIZARD - Jacques BLEY- Raymond BOISSAU - François BOSSHARDT- Jean-Louis BRETTE - François CANN - Dominique CHAVANAT- Noël CHAZARAIN - Jacques CODET - Michel de COURREGES - Pierre CROUSILLAC - Michel FRANCESCHI - Yves GABON - Robert GASTALDI - Jacques GENEST - Bernard GILLIS - Jacques GUICHARD - Paul HANRION - Louis d'HARCOURT - Jacques JULIEN de ZELICOURT- Guy LE COZ - Guy LEBORGNE - Jacques LECLERC - Jean-Marie LEMOINE - Georges LONGERET - Robert MOLINIER - Michel NOEL du PAYRAT- Georges PORMENTE- Jehan-René POUDELET - Henri PREAUD - Etienne RENARD - Robert RENIER - Albert REUL - Xavier de REVIERS - Jean REVILLON - Jean ROBERT - Guy de ROCHEGONDE - Yann ROUSSEAU-DUMARCET - Jean-Louis ROVE- Jean SALVAN - Jean-Pierre SENGEISEN - André SUBRA - Jean VAUJOUR - Jacques VIDAL

 Généraux de corps d'armée - gendarmerie nationale (CR) :

- Jean-François SARDET

 Généraux de corps d'armée - armée de l'air (CR) :

- Pierre BIRDEN - Jean-Pierre DUVIVIER - Nicolas FEVRE- Michel FORGET - Jean GRENET - Louis GROUILLER - Elie HUMBERT - Jean MAFFRE - Bernard NICOLAS - André ORTOLO

 Vice-amiraux d'Escadre (CR) :

- Jean ACCARY - Bernard KLOTZ

 Généraux de division - armée de terre (CR) :

- Yves ANDRE- Bertrand de BAILLENX - Jean-François BARTHE- Michel BOILEAU -Robert BOULE- Jacques BRESSON -J.-C. de BRESSY de GUAST- Alain BROSSEAU - Mathieu CECCALDI- Bruno CHAIX - Bernard CHEVALLEREAU - Daniel CLEDIERE- Bernard COLCOMB - Michel COTTEREAU - Alain CURE- Pierre DAVID - Pierre DEPOILLY- Serge DOUCERET- Henri DUBOUCHET - Jacques DUQUENOY- Pierre FAYARD -André FAYETTE- Jean-Claude GAUTIER - Daniel GAZEAU - Pierre HAINAULT de LA REGONTAIS - Guy JOUSLIN de NORAY- Clément de LA RUELLE- Alain LACAPELLE -Théodoly LANNES - Eugène LE BARS - Arthur LE LIEVRE de la MORINIERE- Michel LORIDON - Edouard LOUSTALOT-FOREST - Bernard MAIRAL - Yves MENARD - Jean-Marie MOREA - Gérard MOREL - Claude MOUTON - Claude PERROT - Emile PHILIP - Max ROBERT - Daniel ROUDEILLAC - Bernard SCHLAGDENHAUFFEN - Claude SOLANET - Dominique SROMBONI

 Généraux de division - gendarmerie nationale (CR) :

- Pierre DEVEMY- Michel DROUARDHARDY - Arnaud IMBERT de BALORRE- Michel JAUQUET - Antonio JEROME - Alain JOUSLIN de NORAY - Michel-André ROUET

 Généraux de division - armée de l'air (CR) :

- Jean ANQUETIL - Roger ANTIPHON - Henri de COINTET - Antoine DUMAS - Gilbert GAGNEUX - Jacques GAUDART - Jacques GUIN - Georges LACAZE- Denis LETTY - Jean-Claude PARIZE - Jean-Pierre PIRONNEAU - René ROUAULT - Jacques SOLLEAU - Michel de TOUCHOT - Roger UHRIG - Jean VEDRINE

 Vice-amiraux (CR) :

- Louis RlZEAU - Cyrll HERBOUT- Marcel LE CICLE - Michel MOLLAT du JOURDIN

 Généraux de brigade - armée de terre (CR) :

- Maurice de ACCARY - Alain d'ALANçON - Gilbert ALLOUIS - Michel AMBLARD -Jacques AULAGNE - André AUROUSSEAU - Serge AUZANNE - Georges AYMARD - René BACHELARD - Arnaud de BAILLENX - François BALDACCHINO - Paul BARIETY- Jean-Pierre BARTHELEMY - Robert BASSAC - Robert BASSET - Jean-Antoine BATTISTELLI -René BAULAIN - Jean-Marie de BAZELAIRE de LESSEUX - Louis BEAUDONNE - Marc BEAUMONT - Franck BEAUPIED - Yves de BELLOY - Gérard BERGE - Max BERTHIER - Henri BERTRAND - Robert BESSON - Claude BICHON- Bernard BIGOTTE - René de BIRE - Jean-Claude BIZET- Roland BOCK - Hervé de BODIN du GALEMBERT- Guy BOUCAUD Jean-Jacques BOUGEROL - Michel BOURDIN - Yves BOURGUIGNAT - Jean BOUSQUET- Jacques BOUTEILLE- Maurice BRENAC-Bernard de BRESSY de GUAST- Yves BRETEAU - Jean BRUN - Jacques BUCHET- Raymond BURGY - Jean BUSSY - Jacques BUTEL - Joseph CANAL - Jean CARALP - Jacques CASSAGNE - André CAZEAUD - François CELLERIER- Paul CERBELLE - Raymond CHABANNE - René CHAMPANHET- Christian CHARLET- Marc CHARPY- Jean CHARTIER - André CHOFFEL - Jean-Marie CHOTIN - Gabriel CLAVIER- Jean-Louis CLOUET des PESRUCHES - Hubert CLUSET - Hervé de COATPONT- Guy CODE - Pierre COLL/GNAN - Jean-Gabriel COLL/GNON - André COLOT- Romain COSSE- Paul COUILLAUD - René COULON - Bruno COURTOIS - Jean-Louis CRESPIN - Robert CRESSENVILLE - Bernard CROLY-LABOURDETTE - Freddy DAMLAIMCOURT - Michel DANET -Emmanuel DAUFRESNE - Jean DAVID - Jacques DEBARGE - Pierre DECORSE- Bernard DEGENNE - Jean-Claude DELABIT - Jean DELARBRE - Georges DELCLEVE- Remi DELPIT -Jacques DERRIEN - Pierre DEWATRE - Michel DIDIER - Pierre DORLENCOURT - Claude DOTTE- Guy DOTTE-CHARVY - Claude DOUSSINEAU - Roland DUBOIS - Yvan DUJON - Albert DUPONT- Bertrand DUPONT de DINECHIN - Jean DUPUIS - René DUPUIS - Pierre DURAND - Jacques DURRANDE - Yves DUVAL - Gildas DYEVRE - René ERNOULD - Pierre EYRAUD - Maurice FAIVRE- Guislain FAIVRE- André FAURE - Jean Louis FAVEROT- Pierre FAYOLLE- Pierre FISCHER - Emmanuel de FOLL/N - Louis FONDVILLE - Raoul FORCIN - Bernard FORRER - Jacques FOUILLAND - Pierre-Marie FOUILLAND - Antoine FOUQUE5-DUPARC - Jean-Louis de FRANCE - Jean FREDON - Robert GAGET - Camille GAMACHE - Bruno GARDEY de S00S - Pierre GARY - Henri de GATELL/ER- Yves GAUQUEL/N - Alain GAUTIER - Bernard GENESTIER - Paul GERMAIN - Antonin GILBERT -Claude GIRARD - Jean-Joseph GIRARD - Robert GOESTER - Philippe GOMART- Roger GOSSET - Martin GOT - Hubert GOUTTENOIRE - Pierre GRAFF- Germain GRAFF- Robert GRANGER - Jean-Claude GROL/ER - Philippe GUILBAUD - Pascal GUILLEMET - Jean-Claude HAMEL - Guy HAUTEFEUILLE - Roland HERVE - Serge HOUOT - Raymond HUMEAU -François JACQUOT - Edmond JEANCOLAS - Alain JUDDE de LARIVIERE- Max JULL/EN -Jacques KANDEL - Jean KIEFFER - Jean KIRSCHER - Alexis LA SATIE - Maurice de LA ROQUE - Philippe LAFONT - Jean LAIRE - Michel LAJOUANIE - Gérard de LAJUDIE- Hervé LALES - Alain LAMBALLE - Louis de LAMBILLY - Philippe LANDART - Jacques LANGLOIS - Jacques LAROCHE - Dominique de LAROUZIERE - Michel LAVEDRINE - Marc de LAVERNETTE - Jean LE THIEC - Bernard LEDRU - Jean LEGER - Jean LEMOINNE -Joseph LEONARDI - Claude LEPROUST- Pierre LEROMAIN - Michel de LESSAN - Marcel LETESTU - Jean L/EGE - Dominique de LONGEAUX - René LONGUEVAL - Jean LORMEAU -Joël MANIN - René MANIQUANT- Jacques MARCOUT- Jean-Marie MARTINOT- Pierre MARY -Fernand MASINI - Maurice MATHIOTE - Etienne MAURENCE - Gilles MEHU - André MENGELLE- Dominique MERLE- Jean-Claude METAYER - François MEYER- Maurice de MONTLEBERT- Jean MOREAU - Robert MOTTE - Michel MOUL/N - Jean-Louis de MOULINS-BEAUFORT - Georges MOURAUD - Gérard MOURET- Paul MOURIER - Jacques MUTIN - Jacques MUZI- René NABEC - Raymond NICAISE - Jean-François PACHABEYIAN - Jean-Paul PAGNI - Marcel PARTY - Philippe PATRICOT - Pierre PATUREL - Jean PECHINOT- Michel PERAUD - Guy PERET - Jacques PERRY - Jean-Pierre PETIT - Jacques PETIT- Jean PICHOT-DUCLOS - Jack PICOT - Jacques PIGEAUD - Henri PILLOT - Christian PIPART - Marcel POIRIER - Bernard POIRIER - Jacques PONS - Eugène POSTIC - Antoine de POUILLY- Guy de PREMARE - Pierre PRESTAT- François PRIGENT- Jean PRUD'HOMME - Jean QUELENNEC - Jean-Michel RAYMOND - Pierre REGNAULT - Pierre REMY - Jean-Pierre RENEVIER - Jean RETAT- Pierre RICHARD - Jean-Roch RICHARD - Bernard RIGAL - Bertrand RIMAUD - Roger RITZ - Pierre RIVAYRAND - J.-Melchior de ROQUEFEUIL - Jean-Paul ROUVIER - Bruno ROUX - Max ROUX- Pierre ROYAL - Jean-Michel RUAULT - Hubert de RUFFRAY- Michel RUFIN - Jean de SAINT-GERMAIN- Raymond de SAINT-GERMAIN - Christian de SAINT-JULIEN - Bruno de SAINTE-FOY - Alain de SAINT-SALVY - Alphonse SAUDER - Jacques SCHMITT- André SEBAN - Bernard SELOSSE - Bernard SERPOL - Patrick SIMON - René SIRVEN - Claude SOMMERVOGEL- André SOUDON - Michel de SUREMAIN - Charles-Henri de SURY d'ASPREMONT - Dominique de TANOUARN- Bernard de TERNAY - Marc TERRASON - Joseph TESSOT- Pierre THEVENOU- Pierre TILLETTE de CLERMONT-TONNERRE - Christian TILLY- Michel TONNAIRE - Jean-François TROADEC - Jean TURCOT- Daniel VALERY- Marc VAL/CON - Jacques VAQUETTE - Jacques VAUTERIN- Bruno VENARD - Jean VENET- Jean VERDE de L/SLE- Guy-J. VEZIO - Jean-Paul VIDAL - Roger VILAIN - Roland VINCENT- Antoine de VIRIEU- François VORUZ - Michel VUIBLET- Jean WELLER - Bernard YOU

 Généraux de brigade - Gendarmerie nationale (CR) :

- Jean BELLlEIL - Michel CHAPLAIS - Jean CONRIE - Jean CUSIN-GOGAT- Yves GOARANT- Guy JOURNAUX - Pierre LEMEE- Pierre de MAXIMY - Louis MOUILLE

 Généraux de brigade - armée de i'air (CR) :

- Paul ARMAND - Michel AUTRET - Paul BELLURGEY - Gilles BERG - Gilbert BIOUSSE - Gérard BONNEVIE - Marcel BOURGNINAUD - Léon BRISSET - Guy BUREL - Guy CASSAGNE - Jacques de CHAMPEAUX - Joël CHOQUET - Pierre COLOMBET- Etienne COURJARET- Xavier DEFLINE - Gérard DELATTRE - Pierre GILLES - Pierre GRANPERRET - Pierre GUILLERMIN - Jacques GUILLOU - Henri HEIMBURGER - Pierre HUBAC - René HUERRE - Lucien KLEIN - Henri de LATAILLADE - Michel LENAIN - Jacques LEPINE - Charles MAINGUY - Claude MALICHECQ - Etienne MAURENCE- Pierre MENANTEAU - André MEROLA - Claude MICHEL - Xavier MOREAU - Pierre PICHANCOURT - Claude PRONO - Jean RAYNAUD - Jacques RICHARD - Marc ROMARY - Philippe SANDER - Jacques de SOULTRAIT - Claude STENGEL - Jean THEPIN - Jean VUILLEMOT

 Contre-amiraux (CR):

- Pierre BASTARD - Michel BERGER - Christian BONBON - Norbert BONNEAU - Michel BREM - Philippe CLOCHARD - Bertrand DESGREES du LOU - Bertrand DURANT de SAINT-ANDRE - Claude GOUVA - Jean KESSLER - Jean-Louis LE DEUFF- Louis LE HEGARAT- Jean MOLENAT- Jean RAGUET - Jean VERDERY- Philippe VIDAL de La BLACHE

 Pharmacien - chimiste général (CR) :

- Roger DUCOUSSO

 Medecin général (CR) :

- Henrl-Claude GUENOUN

 Liste des 521, signataires arrêtée lundi 18 mars 2002

***************************************************************************************************

Comme vous pouvez le constacter ??? Pas un mot sur la FORCE LOCALE  sur ce manifeste, et

 sur le rôle des officiers de notre  l'armée lors de la constitution de cette force locale de l'ordre Algérienne après ce 19 mars

Ajouter un commentaire
 

Date de dernière mise à jour : 04/11/2023

Créer un site internet avec e-monsite - Signaler un contenu illicite sur ce site