Complément de 1962 au rapport de Benjamin Stora 2021

La vrai publication officielle de la force locale a été mis en ligne sur Cairn.info le 29/09/2015, pas un mot dans le rapport Stora 2021

Cessez le feu en algerie video du 28 mars 1962

 

« Quand la vérité est remplacée par le silence, le silence est un mensonge »

 

Photo prise dans les locaux du RICM de Poitiers, lors de la visite lundi 16 octobre 2023 dans la Vienne, de Madame Patricia Miralles Secrétaire d’Etat auprès du Ministre des Armées, chargée des anciens combattants et de la mémoire

Présentation du livre   << la Force locale en Algérie 19 mars 1962- 31juillet 1962 Omar Hamourit >>

Dans la tourmente après le cessez le feu du 19 mars 1962 en Algérie, un militaire du contingent de Vouneuil sous Biard, qui avait été versé d’office par l’Armée Française, dans l’unité 434 de la force locale Algérienne * comme Militaire Français du contingent de Métropole FSE, témoigne dans ce livre avec un Militaire du contingent Algérien FSNA d’Alger - sur le parcours qu’ils ont effectué ensemble dans la 3ème compagnie opérationnelle du 4ème BCP dans les Aurès à Tifelfel Ghassira avant le 19 mars 1962 pendant la guerre et ensuite dans la force locale Algérienne a Tkout à partir du 12 avril et ensuite à Guyotville, jusqu’à l’indépendance.

*(Accords d’Evian -10 % FSE - 90 % FSNA dans les 114 unités constituées par plus de 91 régiments de l’armée Française, sur toute l’Algérie, pour cette période transitoire, avant l’indépendance)

Il serait souhaitable que Benjamin Stora puisse rajouter dans son rapport remit au Président de la République cette période transitoire en Algérie avec la force locale

A voir aussi, mon témoignage avec d’autres <<Le soleil qui me brulait le dos>>

 Documentaire vidéo mise en ligne sur la chaine YouTube du collège FCPIN-TV

 

Bulletin de l'association des officiers de réserve de bordeaux     1985

"" Un petit article de "souvenirs" paru dans le bulletin de l'association des officiers de réserve de bordeaux""                                                   

 copie)   Dans le numéro 285 en date du 15 juin 1985 du bulletin de notre associationj'avais traité des grandes lignes de ma «carrière» de réserviste, en promettant d'écrire plus tard un article sur une affectation qui m'a beaucoup marqué.

Mais voilà, vingt ans ont passé (tellement vite) et il est temps de tenir mon engagement, avant que les souvenirs ne s'effacent totalement.

Suite au cessez le feu du 19 Mars 1962, et après dissolution du 47ème B.I., je suis affecté au 51ème R.I.,PC à Grarem dans l'ouest Constantinois.

Reçu par le chef de corps (colonel Quilichini si ma mémoire est bonne), celui-ci me dit  textuellement: « je vois que vous êtes natif d' A.F.N. du Maroc, et je pense que l'affectation que je vous donne ne vous plaira pas, mais je n'ai pas le choix. Je vous envoie donc à la compagnie des forces locales qui dépend de notre régiment ».

Je devais avoir l'air encore plus ahuri que d'habitude, aussi le colonel m'expliqua rapidement les grandes lignes de ce qui m'attendait.

Les compagnies de forces locales ont été crées (après le cessez le feu) pour regrouper les personnels musulmans dans des unités spécialisées. Dirigées, à l'origine, par des cadres européens, il était prévu qu'elles soient ensuite confiées aux autorités algériennes (après l'indépendance) sans doute pour constituer l'embryon d'une armée nationale.

Je rejoins donc cette compagnie (qui possédait encore un encadrement essentiellement européen), et l'on me confie une section composée d'appelés musulmans (encore français).

Ces unités recevaient des officiers et sous-officiers musulmans (d'active ou de réserve) destinés à remplacer au fur et à mesure les cadres européens. Ainsi, l'arrivée des uns se traduisait par le départ des autres.

Ces compagnies de forces locales disposaient d'une logistique complète, y compris les véhicules nécessaires à une compagnie portée.

L'ambiance, compte tenu de l'époque et de la situation, n'était pas au beau fixe et nous vivions dans une grande incertitude. Que1 rôle jouer, pris entre le marteau et 1'enclume, dépendant encore des autorités militaires françaises, mais destinés à être absorbés par le futur état algérien?

Bien sûr, nous nous posions de nombreuses questions, espérant sortir au plus vite d'une situation ambiguë pour tout le monde, y compris pour la troupe. Car cela se passait juste avant le référendum du 4 Juillet, les soldats musulmans étant travaillés par les uns, poussés par les autres.

Pour les cadres européens, de moins en moins nombreux au fil des jours, les choses n'étaient pas simples, les inquiétudes et la méfiance régnaient de façon insidieuse. Le bruit courait que des compagnies des forces locales, sans attendre l'indépendance, étaient passées de l'autre côté après avoir liquidé les  «roumis » encore présents.

Cela n'était pas pour remonter le moral, même si nous ne le montrions pas (il faudra peut-être un jour écrire l'histoire de ces compagnies caméléon).

Pour éviter que nos troupes, poussées par des agitateurs, ne se livrent à ce genre de sport, nous changions régulièrement d'emplacement, allant d'un village à l'autre, logés dans des écoles ou autres bâtiments disponibles (le confort ne comptait pas, je vous le garantis). Nous étions de véritables forains qui ne restaient pas plus de quelques jours au même endroit.

Inutile de vous dire qu'en bon« pieds-noirs », j'étais en permanence sur le qui-vive, me méfiant de tous et de tout, je m'étais même confectionné un holster d'épaule qui me permettait de camoufler mon Mac 50 sous la veste de treillis (pour le cas ou ... ) sans montrer à mes appelés que je prenais mes précautions.

 Tous les soirs, dans leur chambrée, ces hommes, écoutaient les émissions F.L.N. sur les ondes de Radio Tunis, et se mettaient au garde à vous pendant la diffusion de l'hymne nationaliste.

Quant à moi, le soir je me barricadais dans ma chambre, armes à portée de main, car je savais qu'en cas de clash je ne pouvais compter que sur moi. Pendant cette période d'environ deux mois, j'ai connu des nuits sans sommeil, des moments difficiles, des instants plus que délicats. Que faire en effet quand un homme se conduisait mal ? Pouvait-on le punir au risque d'exciter les autres l'enfermer et où?

Que répondre à quelques cris de haine, à des mouvements de désobéissance parfois, ou au moins de mauvaise volonté ?

Nos subordonnés savaient que leur situation devait évoluer très rapidement et que nous allions partir.

Bref, il fallait jongler, composer, se «démerder» souvent seul, surtout sur la fin quand presque tout l'encadrement français avait déjà rejoint le régiment.

Heureusement que dans l'ensemble les choses se sont à peu près bien passées.Et c'est aussi à cette époque que j'ai rencontré un garçon assez extraordinaire, un jeune sous-

lieutenant de réserve musulman, dont j'ai malheureusement oublié le nom. Mais je me rappelle bien de lui.

Sous un physique enveloppé, c'était un jeune homme qui sortait du commun, comme je l'ai découvert par la suite.

Nous avions le même âge, le même grade et la même culture française (il avait fait des études supérieures). Autant que je me souvienne, il était originaire du même bled que Ferrat Abbas (Sétif) le pharmacien qui fut l'un des premiers responsables de la rébellion.

Bien entendu, nous étions d'opinions opposées, lui pour l'Algérie indépendante, moi pour l'Algérie française. Nous avions longuement et passionnément échangé nos arguments, lui qui voyait ses espoirs se réaliser, et moi les miens qui s'effondraient. Et cela en restant bon camarades (je ne l'ai pas connu assez longtemps pour dire amis).

Cet homme a fait deux choses époustouflantes (selon mon opinion). La première, le jour du référendum, il a accompagné la troupe au bureau de vote. A l'entrée, des hommes remettaient un seul bulletin, le oui, aux soldats qui allaient directement aux urnes. Lui, par contre, a exigé d'avoir les deux bulletins et de passer par l'isoloir, tout en faisant observer aux responsables de bureau de vote qu'ils se conduisaient comme des imbéciles, et que leur attitude anti-démocratique entachait les résultats.

Ce jour-là, il fallait quand même le faire. 

Quelques jours plus tard, et alors que tous les cadres européens avaient été remplacés (il ne restait plus que le capitaine et moi) la situation s'est brutalement dégradée après la reconnaissance de l'indépendance. Remontés par la population et quelques meneurs les hommes devenaient de plus en plus nerveux. Le capitaine a donc fait appel au régiment qui a envoyé des automitrailleuses plus une jeep pour nous recueillir.

Comme prévu dans les instructions, tout le matériel (véhicules, armes, radios, etc. ...) est pris en compte par le nouveau responsable de la compagnie.

Au moment de nous éloigner, sous les cris de la population et les « you-you » des femmes, l'un des cadres musulmans m'a montré ma veste de treillis et a réclamé le P.A. que je cachais sous ma veste, en me disant qu'il était à eux maintenant. Je dois dire que je n'ai pas beaucoup apprécié, mais il a fallu m'exécuter.

Mais ce qui m'a vraiment frappé au moment de partir (et pour la seconde fois) c'est ce qu'a fait mon camarade sous-lieutenant algérien.

Alors que nous allions « filer » sous les cris, au milieu d'une foule houleuse, lui, le garçon rondouillard, sans allure, est venu me donner l'accolade.

Et lorsque le capitaine et moi sommes montés dans la jeep, il s'est mis au garde à vous et nous a salués de la plus belle manière, salut que nous lui avons rendu.

Ces gestes amicaux et courageux restent à jamais gravés dans ma mémoire, et à 43 ans d'intervalle je pense à lui comme à un homme d'exception.

 Et j'espère que ses qualités morales et humaines ne lui ont pas attiré d'ennuis par la suite, au cours des évènements tragiques qui ont suivi.

Je crois sincèrement que par sa manière d'être, de penser et d'agir, il était plus français qu'algérien, même s'il refusait de l'admettre.

Voilà j'ai voulu modestement vous faire partager un souvenir lointain mais toujours présent dans mon esprit. J'espère que ces quelques aspects dévoilés sur « les forces locales » vous ont appris quelque chose et qu’ils vous ont intéressés.

 Si d'autres camarades de l'Association ont connu la même expérience difficile, j'aimerais qu'ils m'en fassent part. Commandant(H) Michel PASSICOS

Loi n° 99-882 de la Guerre en Algérie du 18 octobre 1999 !!

Une loi qui oublit le cessez le feu du 19 mars 1962

- la loi - 99-882 du 18 octobre 1999 relative à la substitution, à l’expression « aux opérations effectués en Afrique du Nord » à la guerre Algérie et aux combats en Tunisie et au Maroc parut au Journal Officiel de la République Française du 20 Octobre 1999 qui "modifie" - la loi 74-1044 du 9 décembre 1974 opérations de sécurité et de maintien de l'ordre en Algérie" (sans modifié les dates)

"On se demande comment des officiers expérimentés et intelligents ont pu élaborer ce projet."

Le silence, l'oubli ou le mensonge sur la force locale

La force locale après les accords d'Évian (mars-juillet 1962 ...

Force locale 2023

 

Omar hamourit a la televisuin

https://www.cairn.info › revue-guerres-mondiales-et-co...de S Laribi · 2015 

Film documentaire "Le soleil qui me brûlait le dos" - Collège Ferdinand Clovis Pin de Poitiers

Lien ci-dessous

https://www.youtube.com/watch?v=qJMK83ZQmkY

Voir La Guerre d'Algérie 5ème episode sur Canal   Histoire TV 

La guerre d'Algérie

Doc. Histoire, Allemagne

Episode 5   La valise ou le cercueil

Dispo. jusqu'au 06/12/2021

La stratégie de la terre brûlée de l'OAS, l'Organisation Armée Secrète, conduisit, en partie, au départ des colons résidant en Algérie

 

 

Remerciements aux 242487 visiteurs a la date du 17 avril 2021

Non, Monsieur Stora ! Ce n’est pas l’indépendance de l’Algérie qui a provoqué l’exode des pieds noirs. Serait-ce là, de votre part, une remise en cause du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes ?
Ce sont, et vous le savez, toutes les horreurs commises par l’OAS qui ont incité les pieds-noirs, -et parmi eux tous les membres de ma famille maternelle- à fuir l’Algérie de peur des représailles à la suite, entre autres atrocités dont l’OAS s’est rendue coupable envers les Algériens : les tirs de mortier sur la Casbah surpeuplée, la pose de bombe devant le centre d’embauche des dockers, les malades tués à bout portant sur leurs lits, les « ratonnades », les femmes de ménage poignardées, etc.
Au bout du compte : 2700 victimes surtout algériennes mais aussi françaises.
Et vous le savez très bien, vous, historien spécialiste de la guerre d’Algérie.

Mais alors, pourquoi ne pas l’écrire au Président de la République ? Pourquoi cette négation de l’OAS dans l’histoire de la guerre d’Algérie ? Pourquoi, après réflexion, induire délibérément en erreur le Président de la République en pratiquant l’effacement de faits pouvant ouvrir à un négationnisme généralisé comme vous l’écrivez ?

Non Monsieur Stora ! Nous n’acceptons pas que la réconciliation entre Français et Algériens se fasse au détriment de la mémoire des victimes de l’OAS et de la négation de la souffrance de leurs familles. Nous formulons cette proposition en complément de la vôtre :

Un certain lieutenant Marco dans « la bataille d’Alger »…

mardi 11 avril 2023, par Michel Berthélémy

Retour sur la polémique déclenchée par les déclarations de Benjamin Stora sur Jean-Marie Le Pen et la torture.

Dans un podcast diffusé sur France-Inter le 27 février 2023, l’historien doutait que Le Pen ait pu torturer des civils durant la bataille d’Alger, en février 1957. Plusieurs témoignages affirment le contraire, dont ceux recueillis par Florence Beaugé, publiés dans son livre Algérie, une guerre sans gloire, paru chez Calmann-Lévy en 2005.
On y relève notamment des faits précis relatés par des témoins et des victimes, qui expliquent comment le lieutenant Le Pen avait mis en œuvre « la torture à domicile ». Abdelkader A. avait 19 ans à l’époque. Il raconte : « le soir du 2 février, une vingtaine de paras ont surgi dans notre domicile. Ils étaient conduits par un lieutenant grand, blond et bruyant ». Dès leur irruption dans la maison, les parachutistes font le tri. Les hommes sont ligotés puis conduits dans une pièce au premier étage… les femmes sont placées au rez-de-chaussée… Abdelkhader A. est mis à nu, puis allongé par terre sur le dos, les mains entravées sous lui. Les paras branchent des fils électriques et les promènent partout sur son corps. Il se souvient : « ils insistaient sur les endroits sensibles, le bout des seins, le sexe… je hurlais, mon corps faisait des bonds… ils ont pris ensuite l’eau des toilettes, étalé une serpillière sur mon visage et me l’ont fait avaler de force… Le Pen était assis sur moi, il tenait le chiffon pendant qu’un autre versait la flotte. Je l’entends encore qui criait : vas-y ! vas-y ! t’arrête pas ! Il se faisait appeler Marco par l’un de ses hommes. Il respirait la violence ».
L’interrogatoire s’est poursuivi presque toute la nuit. À l’aube, Abdelkhader A. et les trois autres hommes torturés avec lui sont libérés. Entre-temps, l’épouse de l’un d’eux a, semble-t-il, été violée.

Des témoins présents sur les lieux cette nuit-là…
Zohra Drif était dans la maison cette nuit-là. Elle avait 22 ans : « Au début, nous n’avons pas voulu croire qu’on torturait les hommes à l’étage au-dessus. La torture à domicile ? Impensable ! La Résistance française avait été un modèle pour les jeunes de ma génération… dans notre esprit, les Français ne pouvaient pas se conduire comme des nazis… je me suis mise à hurler : c’est ça la France ? La mère des arts et des lois ? La France de l’égalité et de la fraternité ? …Cette nuit-là a scellé mon divorce d’avec la France » .
Pour Yacef Saadi, lui aussi présent, cette nuit du 2 au 3 février 1957 est restée comme « la nuit du lieutenant Marco ». Caché avec ses adjoints dans un réduit mal fermé par une dalle, il a pu suivre ce qui se passait dans la pièce : « c’était la première fois que je voyais pratiquer la torture à domicile ». Dès le lendemain, il active son réseau. Chef de la zone autonome d’Alger, il veut savoir qui est ce lieutenant Marco. La réponse lui arrive quelques jours plus tard. Il s’agit d’un certain Jean-Marie Le Pen.

Corroborant l’enquête de Florence Beaugé, un document a été rendu public en octobre 2018 sur le site 1000autres.org. Il s’agit d’un rapport du commissaire Gilles datant du 1er avril 1957, qui fait état d’une plainte pour torture déposée à l’encontre du lieutenant Le Pen : « Yahiaoui Abdenou 19 ans. Enlevé par le 1er REP le 8 mars 1957. A porté plainte contre le lieutenant Jean-Marie Le Pen, l’accusant de l’avoir frappé à coups de nerf de bœuf, de l’avoir torturé à l’électricité et à l’eau, puis de l’avoir mis au tombeau 5 jours, sans justice, sans pitié », écrit le 5 octobre dernier Fabrice Riceputi, membre de la Rédaction des sites histoirecoloniale.net et de 1000autres.org.

En privé, Benjamin Stora a reconnu son erreur. Mais on attend toujours que le réalisateur du podcast et France-Inter rectifient les déclarations inexactes qu’ils ont diffusées.

 

Aan 1962 01 26Aan 1962 01 26 (3.91 Mo) Voir les documents sur l'Algérie, Monsieur Stora de la page 655 a la page 742. la

derniere !!

 

Couvrir le conflit algérien ou l’évoquer s’avère périlleux lorsqu’on veut être un journaliste impartial. Joseph Pasteur en fait les frais.

La veille du JT de 20h00 du 16 mars 1962 où il doit commenter la politique intérieure, on l’averti qu’il ne présentera pas le journal du lendemain : "Au même moment, on apprenait que Pasteur devait être suspendu incessamment à la suite d'un conseil interministériel au cours duquel on avait trouvé qu'il avait une façon provocante de donner des nouvelles...la dernière provocation qu'on lui reprochait était l'annonce, au JT du samedi 10 mars, de la révocation de M. Rouve, secrétaire général du Syndicat de la Police..."

Joseph Pasteur est « invité » soit à partir en reportage loin de Paris, soit à accepter le poste de correspondant de la Rtf à Milan (où il n'y a pas de poste !). Des raisons de sécurité sont aussi invoquées (l'OAS. menacerait de plastiquer son appartement) (télé 7 jours du 24 au 30/03/1962).

Mais, suite à une grève générale d'1/2 heure sur toutes les chaînes de radio et de télévision, le journaliste revient à l'antenne le 07 mai 1962. Il y donne ses impressions sur l'Algérie, puis présente les reportages qu'il a réalisés sur l'Algérie du 08 au 10 mai 1962. Ce reportage est le premier de cette série. Il s’agit d’une rétrospective sur les attentats perpétrés par l'OAS à Alger depuis la signature des Accords d'Evian sur le cessez-le-feu et l'autodétermination en Algérie.

  ‘‘Un peuple qui n’a plus de mémoire n’a pas d’avenir’’

Extrait du message reçu le 23 Mars 2013 de l'historien Guy Pervillé. 

  << j'ai eu tort de ne pas parler des soldats du contingent français qui ont été affectés dans ces unités 

 (Unités de la Force locale de l'ordre Algérienne) et qui ont eu le sentiment  d'y être des sortes d'otages.

 A ma décharge, je dois dire que ce sujet à fait l'objet d'une véritable conspiration du silence>>

 

La force locale après les accords d'Évian (mars-juillet 1962 ...

https://www.cairn.info › revue-guerres-mondiales-et-co...de S Laribi · 2015 

 

Témoignage sur la 513ème  unitée de la force locale Algérienne constitué avec le RICM  qui laisse interrogatif -  Mais je remercie bien le Général Collignon pour les réponses qu'il m'a apportés

 

Réponse par message du Genéral Collignon
    Message du 19/11/13 16:10

  De : "Jean Gabriel Collignon" 
  A : "yvon priou" 
   Copie à : 
  Objet : Re: Contact pour recherches sur   Force locale algérienne 
      Monsieur
 Pour autant que je sache, le RICM n'a rien eu à voir avec la force
 locale algérienne. Je ne peux donc pas vous aider
   Général (2s) Collignon

    Message reçu trois jours plus tard 
    Monsieur
 Je vous retransmets le message que vient de m'envoyer 
     un de mes camarades
 Général (2s) Collignon

    Début du message transféré :
 *Objet:* *Rép : AFN*
 Bonjour mon général,
 En mars 1962 le 4è escadron a été transféré de Ben Kérama (barrage
 marocain) à Nédroma où il a pris le cantonnement du 8è. On y a regroupé
 nos appelés FSNA et après un apport extérieur, surtout en cadres, il a
 donné naissance à la 513è UFO. Cette unité a connu un destin tragique
 puisque les fells l'ont capturée avant même le référendum sans que le
 régiment intervienne. Quelques cadres ont réussi à s'évader (j'en ai
 récupéré deux à Nemours que j'ai ramenés à Hammam Bou Hadjar) dont le
 CDU, un LTT.
 La 513è a été dissoute officiellement fin juillet 62.
 NB : Ayant beaucoup souffert de cette affaire car 4 jeunes de mon
 peloton dont un excellent caporal étaient du lot je ne souhaite pas
 "témoigner".

(Le 23 déc. 2013 à 19:32, yvon priou <yvon-priou@orange.fr> a écrit a tous ses contacts)

Message du 24/12/13 12:04 > De : "Jean Gabriel Collignon"
> A : "yvon priou" > Copie à : > Objet : Re: Meilleurs Voeux du Poitou

Merci de vos vœux . Bonne année à vous aussi.

J'espère que vous avez bien reçu le mail que je vous ai transféré du lt col Vester.
       Général (2s) Collignon

Monsieur

Mon camarade ne souhaite absolument pas dire quoique ce soit sur ces événements.

 Désolé      Gal Collignon

 

 Témoignages de 1962

Omar Ali

mtS042l4nu1mr319 1h1adfcu  · 

MES SOUVENIRS A DIAR EL MAHCOUL AU CLOS SALEMBIER ( EL MADANIA ) ET LES DERNIERS SOUBRESSAUTS DE LA GUERRE DE LIBERATION.

Chers amis , aprés les manifestations du 11 Décembre 1960 , la France coloniale en la personne du Général de Gaulle a su que l'Algérie de papa était arrivé a terme, viennent les accords d'un cessez le feu en Algérie entre la France coloniale et le GPRA représentant l'Algérie le 19 MARS 1962.

Dés le lendemain du cessez le feu , l'OAS (Organisation Armée Secréte) représentant les partisans de l'Algérie française se manifeste par l'attentat au mortier de la place du gouvernement (Placet El 3oud, Place des martyrs). En ce temps là, j'étais âgé de 15 ans et demi et je travaillais a la société IBM FRANCE sise au 4 bd Saint-Saens (bd MOHAMED V).

A cette occasion, je voudrais rendre hommage a tous ceux qui ont perdu la vie a 15 heures 30 le Mardi 20 mars 1962, le lendemain du cessez le feu en Algérie , à la place du Gouvernement (placet el houd), quatre obus de mortier de 60 tombèrent dans la foule. D’une terrasse de Bab El-Oued , l’équipe des « artilleurs » dirigée par le Toulousain, un déserteur parachutiste et la Crevette, également déserteur , membres trés connus de lOAS, venait à titre d’avertissement de bombarder la place du Cheval. 24 morts, 59 blessés. Le sang, la panique, puis la colère, la fureur.

Aprés le massacre de la place des martyrs , l'attentat a la voiture piegée au port d'Alger, la fusillade de l'usine MELIA a Bab El Oued , la tuerie des malades a la clinique du Beau fraisier a Alger , a Oran est dans toutes les grandes villes d'Algérie , c'était la furie de ces sanguinaires , de ces fils de colons qui ont cru que l'Algérie restera française jusqu'à l'éternité.

Une pieuse pensée a mon ami et grand frére DELHOUM BOUALEM ainsi qu'a toutes les victimes de la France coloniale depuis 1830 .

Il etait parmi les victimes , le vendredi 16 Mars 1962 , en se quittant aprés le travail , il m'avait dit , petit , je ne vais pas revenir au boulot lundi parce que ça commence a chauffer et je te conseille de faire de méme . C'était ces derniers mots. Le lendemain du cessez le feu , il habitait a la Casbah rue du Nil , vers 15 heures , le 20 Mars 1962 , il est sorti précipitamment pour descendre a Placet el houd car il avait rendez vous avec la mort. Le destin a voulu que la mort le poursuivra jusqu'a son domicile et son quartier. ALLAH OU AKBAR. C'est sa sœur quelques temps aprés qui m'a raconté les derniers moments de BOUALEM DELHOUM. Allah yerhamek ya Boualem khouya ou rabi yerham koul chouhadas .

Nous avons passé des moments terribles pendant ces trois mois qui précederent l'indépendance. L'OAS a tué ou bléssé beaucoup de nos fréres et sœurs. Comme je travaillais dans un quartier européen , j'ai vu des cadavres de postiers , des éboueurs et agents de la ville d'Alger, d'agents de l'EGA (SONELGAZ actuellement), des femmes de ménages a la rue Michelet , a la place Audin, a la grande poste, enfin tout ce qui ressemblait a un arabe dans tout Alger , Oran, Bone, Constantne et toutes les grande villes d'Algérie. Paix a leurs âmes. En plus , les actions de sabotage de la politique de la terre brulée pour ne laisser rien aux Algériens. Les banques ont été pillées, la bibliothèque nationale a été brulée, la mairie du grand Alger a été plastiquée ainsi que plusieurs établissements scolaires.

A partir du 21 Mars 1962 . L'OAS va multiplier les attentats entraînant des représailles du FLN. Les forces de l'ordre françaises coopèrent avec l'ALN pour lutter contre l'OAS. les commandos du Commandant Azzedine sont chargés de liquider les membres de l'OAS connus par les autorités françaises. Plusieurs membres de l'OAS ont été kidnappés par le FLN dans les quartiers européens a Bouzareah , El biar , Bab el Oued , Saint-Eugéne, Hussein Dey , Kouba , Ruisseau etc ...Devant la riposte des membres de l'ALN , les sbires de l'OAS ont fini par négocier leur départ d'Algérie saints et saufs. Plusieurs bars fréquentés par les membres de l'OAS étaient mitraillés par le FLN jusqu'à la signature des accords FLN-OAS. Les pieds noirs n'obéissant pas aux directives de l'OAS commencent a partir a la hâte, encombrant tous les ports et aéroports d'Algérie. Certains algériens de ma connaissance en occupant les logements des pieds noirs ont trouvé parfois la marmite sur la cuisinière et les couverts sur la table. La peur avait changé de camp.

 

Villes où sont "honorées" l’Algérie Française

ou l’OAS

Un panel significatif :

Sans être exhaustif, bien loin sans doute, malheureusement, je donne ici une première liste de villes "honorant" l’OAS ou l’Algérie Française 

Ce sont des stèles dans des cimetières, des monuments sur des places publiques, ce sont des noms de rues, boulevards, avenues, squares...

Maintenant l’essentiel des illustrations de ce site sont des photos personnelles ou transmises par des amis, des militants... Quelques unes proviennent de sites tels l’ADIMAD-OAS ou autres "algérianistes"... Certaines photos dont je dispose ne pas sont excellentes et je demande à en être excusé, au fur et à mesure j’enrichirai l’album par de meilleurs clichés.

Dans un premier temps je voulais montrer que, certes une majorité de ces réalisations sont dans le sud-est de la France, principalement le pourtour méditerranéen, mais pas seulement. Une minorité existaient avant 2002, la majorité ont été réalisées depuis cette date.

Vous trouverez une rubrique par ville, classées par départements, et pour chacune je donne des exemples, des inaugurations, des "hommages" qui sont rendus, parfois avec la présence d’élus, et généralement pour le moins une complaisance passive des élus, des pouvoirs publics, quand elle n’est pas très active.

J’ai essayé de démontrer ainsi comment les valeurs républicaines, dont certains politiques se glosent, sont bafouées.

Dans un chapitre qui suit, je donne quelques exemples stèles ou de tombes qui sont utilisées pour des "hommages" très condamnables, en particulier à d’anciens responsables de l’OAS, comme par exemple ces 4 condamnés à mort et fusillés présentés comme des "héros" ainsi que les anciens généraux putschistes...

Digne-les-Bains (04)  

Une stèle a été érigée sous l’impulsion de l’ANFANOMA au cimetière de la ville.

Antibes (06)  

Dans le pèlerinage que j’ai fait, dans ce midi de la France, cette église du Sacré Cœur est plus que choquante.

Cagnes-sur-Mer (06)  

C’est le 3 octobre 2014 que cette stèle a été inaugurée par Gabriel ANGLADE (sa dernière sortie publique, il est décédé début janvier 2015)

Cannes (06)  

La stèle du Cimetière du Grand Jas

Grasse (06)  

Une stèle à l’initiative de l’ANFANOMA a été érigée au cimetière Ste Brigitte

Le Canet (06)  

Les manifestations patriotiques et pro-OAS se déroulent devant la "Stèle du Souvenir" au Jardin de l’Étoile.  

Mandelieu-La-Napoule (06)  

Mougins (06)  

Au cimetière du Grand Vallon, il y a une "Stèle des Rapatriés", dédiée aux morts de l’Algérie Française.

Nice (06)  

C’est l’une des toutes premières villes de France à avoir érigé un monument dédié à l’Algérie Française et qui "honore", à cette occasion, publiquement (...)

Saint-Laurent-du-Var (06)  

L’esplanade "Général Edmond JOUHAUD" Il existe aussi une "Stèle des Rapatriés" au Cimetière Saint Marc.

Théoule-sur-Mer (06)  

Théoule-sur-Mer, l’un des symboles de l’horreur Théoule est sans doute l’un des pires symboles de la nostalgie de l’Algérie Française, de l’OAS.

Vallauris (06)  

Une "stèle aux rapatriés" est installée dans le vieux cimetière

Vence (06)  

Cette ville de 20.000 habitants connait aussi ce type de manifestations.

Villeneuve-Loubet (06)  

Je ne suis pas sûr qu’il y ait une stèle dédiée aux rapatriés ou à l’Algérie Française, mais la Place France d’Outre-Mer est le point de rassemblement.

Carcassonne (11)  

Les stèles des Rapatriés Dans ce cimetière de la "Conte", en fait, il y a 2 stèles, très proches l’une de l’autre. L’une assez ancienne, très simple.

Narbonne (11)  

La stèle. L’hommage rendu à l’OAS dans cette ville de Narbonne est parmi les plus anciens réalisé avec cette "nostalgie".

LEUCATE (11)  

Leucate honore les Français d’Algérie (Compte rendu du Journal l’Indépendant du 21 mai 2012) Le monument mêle le métal et la pierre.

Port-la-Nouvelle (11)  

Une stèle dédiée aux "pieds noirs" a été inaugurée le 27 octobre 1985

Trèbes (11)  

Trèbes est une petite ville tout à côté de Carcassonne.

Villegailhenc (11)  

C’est le monument aux morts de cette petite ville qui est utilisé pour ce type de commémoration.

Aix-en-Provence (13)  

Cette ville se distingue, en particulier sous l’impulsion de Madame le Maire Maryse Joissains-Masini.

Arles (13)  

Le 25 septembre 2010, la Ville de Arles, avec son maire, à l’occasion de la journée nationale d’hommage aux harkis.

La Ciotat (13)  

Une stèle dédiée à l’Algérie Française doit exister au cimetière des 4 cantons avenue Guillaume Dulac.

Marignane (13)  

L’ancienne stèle de la Honte Enfin !!! Enfin elle est disparue de l’espace public Quand disparaîtront les autres stèles de la honte ?

Marseille (13)  

Stèle des rapatriés "l’Hélice", à la Corniche Kennedy. Cette "Hélice" est une pâle d’hélice sculptée par César et édifiée par Gaston Defferre (eh oui !) (...)

ROGNAC (13)  

Voici la Stèle dans le nouveau cimetière

VITROLLES (13)  

Sur un site pro-OAS j’avais trouvé cette invitation aux personnes ne pouvant pas se rendre à Toulon de venir assister à une petite cérémonie.

Bayeux (14)  

C’est, semble-t-il, devant cette stèle que se déroulent les manifestations pro-OAS.

Caen (14)  

Voici la stèle de Caen, au Cimetière Saint Gabriel inaugurée en 2012.

Angoulème (16)  

La Stèle se trouve au Cimetière de Bardines

Brive-la-Gaillarde (19)  

Une stèle initiée par l’ANFANOMA, a été érigée au cimetières Estavel.

Ajaccio (20)  

Plusieurs monuments illustrent dans cette ville cette nostalgie de l’Algérie Française La Chapelle de la Parata-Les-Sanguinaires.

Bastia (20)  

Une stèle à l’initiative de l’Adimd-OAS existe.

Chamiers (24)  

Stèle des Français d’Algérie A Coulounieix-Chamiers (petite ville de 26.000 habitants) une stèle aux Français d’Algérie existe.

Crest (26)  

La stèle à la mémoire des "Pieds Noirs" Cette petite ville de la Drôme a un lourd passé historique.

Pierrelatte (26)  

Cette stèle a été inaugurée dans le nouveau Cimetière à l’initiative de l’ANFANOMA. le 14 octobre 2012.

Valence (26)  

Dans le grand cimetière, avenue de Romans, il existe une stèle dédiée aux "Repliés d’AFN" qui aurait été inaugurée le 9 Avril 1972.

Bagnols-sur-Sèze (30)  

Au cimetière de la ville une stèle a été érigée en 1974 en mémoire de toutes ces sépultures abandonnées.

Saint-Hippolylyte-du Fort (30)  

C’est une petite ville du département du Gard. Pendant la Guerre d’Algérie, elle a abrité un centre de torture où sont passé nombre d’Algériens (...)

QUINT-FONSEGRIVES (31)  

Dans cette petite ville de 4.500 habitants, toute proche de Toulouse, cette stèle trône dans le Cimetière.

Toulouse (31)  

C’est devant le monument aux morts de Toulouse que cet "hommage" aux victimes du 5 juillet à Oran est rendu.

AUCH (32)  

Il existe une stèle des "Morts de l’Algérie Française"

Saint-Seurin-sur-l’Isle (33)  

Dans cette commune de 3.000 habitants le Maire Marcel Berthomé, y exerce cette fonction depuis 1971. Ancien officier de la Guerre d’Indochine.

Agde (34)  

Depuis plusieurs années la municipalité d’Agde, anime toutes les manifestations évoquant la nostalgie de l’Algérie française.

Béziers (34)  

Une honte dans le cimetière. Sur cette stèle figurent donc les photos des 4 tueurs de l’OAS condamnés à mort. Il existe maintenant une rue Hélie Denoix-de-Saint-Marc en remplacement de la rue du 19 Mars 1962.

Pérols (34)  

Sur cette stèle figurent les photos des 4 "héros", ces tueurs de l’OAS !!!

Pézenas (34)  

Dans le Cimetière de cette ville, figure une stèle "des rapatriés". C’est devant cette stèle que se déroule les manifestations d’hommage aux harkis.

Sète (34)  

Cette stèle est dédiée aux morts resté au Maghreb Elle fut inaugurée le 6 Juin 2009 par le Maire de SETE.

Valras (34)  

Sur la stèle des propos sont honteux, profondément scandaleux. Les 2 expressions de cette inscription sont profondément choquante.

TOURS (37)  

Un ami vient de m’envoyer la photo de la stèle des "Morts de l’Algérie Française" du Cimetière La Salle. Elle se trouve dans la carré des militaires.

Grenoble (38)  

Une stèle "Aux morts de l’Algérie Française existe au Cimetière des Sablons.

Lons-le-Saunier (39)  

Une stèle existe.

Mont-de-Marsan (40)  

Une stèle "Des Français d’Algérie est érigée au Cimetière du Centre.

Nantes (44)  

Au cimetière de la Gaudinière une stèle des "Morts pour l’Algérie Française y a été érigée.

Le Passage d’Agen (47)  

Une stèle est érigée derrière l’Eglise Saint-Joseph près de la Mairie.

Metz (57)  

Dans le cimetière de l’Est une stèle existe.

Bayonne (64)  

Une stèle aux "Morts de l’Algérie Française est érigée au Cimetière municipal.

Biarritz (64)  

Voici la stèle réalisée par l’Amicale des Pieds noirs de la Côte Basque au cimetière de Ranquine (Bd Pompidou).

Mourenx (64)  

C’est au monument aux morts des rapatriés (de Tunisie ? comme un article de la presse l’indique) ou la stèle des Pieds noirs existe.

Pau (64)  

Il existe une stèle aux Rapatriés et l’autre scandale se trouve à lETAP E.T.A.P. (École des Troupes Aéroportées de Pau). 

Port Barcarès (66)  

La Stèle avec la plaque de l’ADIMAD-OAS

Perpignan (66)  

Une connivence certaine entre UMP et l’OAS Perpignan était une ville dirigée par Jean-Paul ALDUY Sénateur-Maire UMP.

Port-Vendres (66)  

Des lieux "nostalgiques" du colonialisme La nostalgie de Sidi-Ferruch.

Saint-Cyprien (66)  

Voici la stèle commémorative : Sur cette stèle on peut lire, difficilement ces "hommages" Il y a un amalgame entre colonisateurs, militaires morts (...)

Strasbourg (67)  

Voici la stèle commémorative Cette stèle amalgame L’Algérie, le Maroc et la Tunisie. Elle amalgame aussi les "pionners" c’est-à-dire les colonisateurs (...)

Blotzheim (68)  

Salan "Citoyen d’honneur" de la Ville Que cette ville ose faire "citoyen d’honneur" un Général putschiste qui a tenté de renverser la République.

Lyon 9ème (69)  

Voici le Monument aux Morts de la Ville d’Oran qui a été "déménagé". La Statue du haut de ce monument et les plaques commémoratives ont été ramenées. (...)

Saint-Priest (69)  

Cette stèle du souvenir est érigée dans le Square du Maréchal Juin. C’est un tout petit square aménagé surtout pour des jeux de jeunes enfants.

Chalon-sur-Saone (71)  

C’est à l’entrée du Cimetière de la Ville, Avenue Boucicault que ce monument aux rapatriés datant de 1967 a été installé.

Paris (75)  

A Saint-Nicolas-du-Chardonnet C’est tout un symbole que, dans cette église du Boulevard Saint-Germain à Paris, qui est unfief de l’intégrisme catholique .

Amiens (80)  

Voici la stèle installée au Cimetière Saint Pierre, Av. de la Défense passive.  

Saint-Anatole (81)  

Dans ce tout petit village du Tarn, le 5 juillet 1962 est commémoré.

Diuepentale (82)  

Dans cette petite commune de 800 habitants près de Montauban, c’est le monument aux morts qui a été utilisé pour commémorer le 5 juillet. 

Montauban (82)  

C’est devant la Stèle, dans le Cimetière du Pont de Chaume que se déroule les cérémonies. Cette stèle date de 2002.

Besse-sur-Issole (83)  

Cette petite ville de 2.600 habitants ne semble pas disposer d’une stèle "spécifique" dédiée aux rapatriés, c’est donc sur le monument au morts qu’est commémoré l’OAS.

Carqueiranne (83)  

Carqueiranne est une petite ville Carqueiranne est une petite ville de 9.000 habitants tout près de Hyères, Giens...

Cuers (83)  

Voici la stèle

Fréjus (83)  

Cette stèle a été inaugurée le 16 mai 2015 par le Sénateur-Maire FN David Rachline.

Giens (83)  

Un square "honore" le Bachaga Boualem dans la presqu’île de Giens, près de Hyères, un joli square a été baptisé "Square Bachage Boualam".

Hyères (83)  

Le mur de la Honte de ce cimetière. L’action de l’ADIMAD-OAS y est omniprésente.

La Garde (83)  

Une stèle "aux Morts en Algérie" de plusieurs mètres de large couvre un mur du cimetière.

La Londe-des-Maures (83)  

La stèle très évocatrice, avec l’emblème des "Pieds Noirs"

Puget-sur-Argens (83)  

Cette petite ville de 7.000 habitants du Var, elle aussi célèbre les commémorations où l’OAS porte une lourde responsabilité.

Saint-Raphaël (83)  

Le 5 juillet 2007, une gerbe était déposée pour commémorer le 5 juillet 1962 à Oran. le 5 juillet 2014, une stèle dont voici la maquette.

Six-Fours-les-Plages (83)  

Près de Toulon, une association de "rapatriés" commémore de façon irrégulière les 26 mars 1962 ou le 5 juillet 1962.

Solliès -Ville (83)  

Une rue "Colonel Raoul Salan" existe dans cette petite ville de 2.500 habitants située à 12 km de Toulon.

Toulon (83)  

Exemple d’expression d’une ville nostalgique du Colonialisme Toulon, est sans doute l’une des villes les plus anciennes qui cultive le "culte" de la nostalgérie.

Vidauban (83)  

Une "Stèle des Rapatriés" est érigée dans le cimetière.

AVIGNON (84)  

Un Square "honore" depuis un certain temps le Bachaga BOUHALEM

Bollène (84)  

La ville de Bollène dont la maire est Me Bompart (épouse du Maire d’Orange), avec l’étiquette de la "Ligue du Sud" vient de se distinguer.  

Orange (84)  

Cette ville dirigée par Jacques Bompart, un maire d’extrême droite, ancien membre du Font National, passé au MPF de Philippe de Villiers, réélu sans (...)

Piolenc (84)  

Les nostalgiques de l’OAS y sont actifs.

Sorgues (84)  

Au cimetière de Sorgues, un monument est dédié au "recueillement" des nostalgiques de l’Algérie Française.

Mouilleron-en-Pareds (85)  

Le Monument de Vendée de Mouilleron en Pareds avec la présentation de l’ADIMAD-OAS.

Poitiers (86)  

Dans le Cimetière de la Cueille, on trouve cette modeste stèle réalisée par le Cercle Algérianiste de Poitiers en 1987.

Ris-Orangis (91)  

En haut de cette stèle figure une carte de l’Algérie sur cette boule. Cette inscription est ignoble pour 2 raisons…

Saint-Leu-La-Forêt  

Une rue Elie Denoix-de-Saint-Marc existe.

Nouméa (98)  

Même en Nouvelle-Calédonie, le mythe du colonialisme perdure pour certains. Au cimetière de Paita, une stèle et une tombe symbolisent et honorent l’OAS.  


 

 
 
 
Commentaires (1)

1. Un lecteur 05/03/2022

La force locale après les accords d'Évian (mars-juillet 1962 ...

https://www.cairn.info › revue-guerres-mondiales-et-co...de S Laribi · 2015

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Date de dernière mise à jour : 04/11/2023

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